FREEDOM NEW YORK • I HAVE A DREAM
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Carter Alexander Carlton ♚ L'homme n'est que poussière, c'est dire l'importance du plumeau

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WELCOME TO NEW YORK
Carter A. Carlton
Carter A. Carlton
CRAZY HELL
c'est mon squelette au bar de l'hôtel

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PIECES OF MY MEMORY

YOURE IN MY VEINS
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Carter Alexander Carlton ♚ L'homme n'est que poussière, c'est dire l'importance du plumeau Vide
MessageSujet: Carter Alexander Carlton ♚ L'homme n'est que poussière, c'est dire l'importance du plumeau Carter Alexander Carlton ♚ L'homme n'est que poussière, c'est dire l'importance du plumeau EmptyJeu 20 Oct 2011 - 8:17


Carter Alexander Carlton

❝ I know I'm gonna to fall down ❞


❝ YOU'RE IN MY VEINS AND I CANNOT GET YOU OUT ❞


Carter Alexander Carlton ♚ L'homme n'est que poussière, c'est dire l'importance du plumeau Tumblr_ll6fq3tQp01qcu7kpo1_500 nom → Carlton En temps normal j'aurais du être fier de porter un tel nom. Car après tout, lorsqu'on en prend soin, le nom Carlton est un véritable cadeau du ciel. C'est celui qui peut t'ouvrir toutes les portes de la postérité. C'est un nom de génie. Mais voilà, moi les cadeaux ce n'est pas mon truc; Ou en général je n'en reçois que des empoisonnés. Et Carlton est le plus gros cadeau empoisonné que je n'ai jamais reçu. Soit sage, et tait toi, et tout le monde t'aimera, et t'adulera. En temps normal j'aurais du être fier de porter un tel nom. Mais soyons honnête, dans les faits ça fait bien longtemps que je l'ai renier. Je l'ai bafoué dans les règles de l'art, et la seule chose que je lui ai pas fait subir et qui lui aurait été fortement bénéfique c'est de le laisser tomber. Parce que soyons honnête, qui est presque plus connu que Carlton ? C'est peut être Carter Carlton. Le fils terrible, le connard invisible, la plaie des plaies. J'aurais peut être mieux fait de repartir à zéro, de changer de nom. Mais à quoi bon. J'aime rendre à ce nom tout ce que je lui reproche. Tant pis si j'y perd ma réputation. Car franchement j'en ai jamais eu. Même la distinction de héros américain n'aura pas suffit à me relancer dans la voie des bonnes réputations. Carlton cadeau empoisonné. En temps normal j'aurais du être fier de porter un tel nom. ❧ prénoms → Carter Quand Carter est né, ils ne se doutaient de rien. En même temps quels parents se douteraient qu'ils viennent de mettre au monde un enfant en parfait désaccord avec les règles familiales, et les règles de notre cher pays par la même occasion ? Pas grand monde en toute logique. Alors dans l'espoir que ce deuxième fils fassent des merveilles, soit l'honneur de la famille, comme le serait le premier, ils devaient lui trouver un nom qui en jette. Un nom qu'on n'oubliera pas de si tôt - et en ça ils ont réussit. Leur choix c'est porté sur Carter. Pas seulement parce que c'était le nom du 39 ème président des Etats Unis, mais plus parce que Carter était exactement ce qu'il cherchait, un nom élégant, qui claque, et qui ne se perd pas dans les bouche, qui reste coller sur toutes les lèvres. Bon en plus grand père Carlton, fondateur de la fortune Carlton s'appelait aussi Carter, alors bon, effectivement ce nom en jette dans la famille. Difficile de penser que ce nom soit tomber aussi bas à présent. Il est mauvais de mettre trop de pression dans un nom pour un aussi petit enfant, après c'est pas étonnant qu'il veuille se rebeller. Quant à son second prénom Alexander on a là le jackpot de l'élégance. Le jackpot du pédantisme et de la supériorité apparente de la famille. Non vraiment Carter déteste plus que tout son prénom. Il l'aura entendu dans les grand gala quand on le présentait encore de manière solennelle. Après on se contentait juste d'éviter de le présenter, c'était mieux pour tout le monde. Parfois ces parents l'appelle Alexander. Pour lui montrer qu'il ne mérite pas le nom de Carter, et qu'il ferait bien de ce faire au rang qu'il a et qui résonne en Alexander. Mais Carter ne répond jamais à ce prénom. Pas plus qu'il le prononce d'ailleurs ❧ date de naissance et âge → C'est le treize juillet, dix neuf cent quatre vingt huit ce qui lui fait vingt trois ans. Ce n'est plus tellement l'âge de faire des bêtises. Ca serait plutôt l'âge de faire des études, ou plutôt de les finir pour entrer sur le marché du travail en brillant. C'est l'âge des responsabilité bien déterminé. Finit l'âge insouciant de l'enfance depuis longtemps. Passé de mode l'âge de la majorité tout juste neuve à qui on pardonne quelques incartade. Non c'est l'âge de l'adulte qui se doit de commencer à murir. Enfin chez les Carlton en tout cas. Mais vous imaginez bien que Carter est un peu loin de cet image sage et ordonné de l'adulte de vingt trois ans. Carter lui se trouve bien trop jeune, bien trop vieux. Il ne sait pas vraiment ou mettre les pieds dans cette âge bâtard ou tu es aussi bien sensé faire des études et avoir un job de rêve. Il sait bien qu'il n'a jamais rien fait comme il le faut, mais aujourd'hui, à New York, ces vingt trois ans ne veulent plus rien dire. De toute façon ça fait bien longtemps qu'il est prostré sur l'avenir. ❧ lieu de naissance → New York Une famille comme les Carlton ne pouvait pas vraiment vivre ailleurs. La cote Est était sans doute la seule cote assez bien pour eux. Manhattan le seul endroit correct sur cette terre. Carter était né là ou il vivrait probablement toute sa vie. Bien sûr dans une famille pareille on voyagera beaucoup, pour pouvoir discuter dans les évènements de riche. Mais sinon New York était la perfection. Carter était né dans le plus grand hôpital de New York, comme si un autre endroit pouvait vraiment lui convenir de toute façon. Il n'y avait eu aucun problème. C'est d'ailleurs surement le seul moment de sa vie ou Carter n'avait pas poser de problème. Après tout c'était gâté. ❧ nationalité → Carter est de nationalité américaine. What else ? Aujourd'hui si on est pas américain on est rien. La prétention est américaine, le luxe et la richesse est américaine. L'amour est américain. La vie et la mort sont américaines. Même la connerie est américaine pour tout vous dire. Alors oui Carter aussi est américain. Il a le pouvoir d'être le roi des abrutis, de côtoyer autant la vie que la mort, d'être un amour de prétention de luxe et de saloperie. Carter est l'américain de base, ne nous le cachons pas. Carter est aussi l'américain moyen qui va se battre pour sa patrie, alors qu'il ne sait pas vraiment ce que veut dire citoyenneté et famille. Il a surement des tendances suicidaires et ça fait de lui un héros. Il s'aime autant qu'il se déteste. Bref Carter est américain. origine(s) → Les seules origines de Carter sont Américaine. De père en fils, de mère en fille, les Carlton sont resté sur le sol américain. En soit on s'en fiche de nos origines. Enfin que Carter est du sang américain, ou du sang légèrement espagnol, italien, français ou anglais, qui s'en préoccupe ? Peut être que s'il avait eu du sang Irakien ça l'aurait aidé, et encore. De toute façon c'est marqué sur le front de Carter qu'il est américain alors vraiment peut importe ces origines. A vrai dire Carter apprécie son origine américaine. Parce que dans l'esprit commun, être américain permet la connerie. Alors que le sang français réclame une certaine tenue, de la galanterie et un certain romantisme, le sang anglais réclame de la classe et l'humour cinglant, l'espagnol demande de la joie de vivre, l'italien lui serait probablement aussi allez comme un gant, mais il a le teint trop pâle, et est peut être un peu torturé. Il aurait surement bu toute la vodka du sang russe, mais en évitant de boire les traditions communistes. Il aurait été jeté de tous les pays pauvres du Sud, n'aurait jamais su s'acclimater au pays asiatiques, trop lent. Bref à y regarder, Carter ne pourrait être rien d'autre mis à part Américain. Ce qui tombe relativement bien. ❧ statut et orientation sexuelle → Carter est un pur tombeur de ses dames. Pourtant il aurait fortement apprécié être gay. Histoire de rendre ces parents fous et de les faire interner définitivement. Mais malgré quelques expériences, il n'y a vraiment rien à faire, Carter succombe toujours à la gente féminine alors que la gente masculine ne lui fait ni chaud ni froid. Généralement Carter est un grand libertin, pas d'attache et très rarement deux fois la même fille. C'est un con en toute circonstance et en particulier avec les filles. Mais con ne veut pas dire insensible, et encore moins sans coeur. Carter est tombé deux fois amoureux. La seconde est morte en Irak à ces cotés. La première était un mauvais remake de Roméo et Juliette, et il a coupé les ponts avant d'arriver à la fin tragique. Ces deux histoires loin de redonner confiance à Carter l'envoie valser parmi les coeurs déchirer, et les prochaines victimes du don Juan pourrait même leur en vouloir. Enfin sauf que la blonde qu'il n'a jamais réussit à oublier lui en voudra surement plus que toutes ces conquêtes réunit. ❧ emploi et/ou études → Carter fait beaucoup de chose, et il en a toujours fait. En revanche il a rarement finit tout ce qu'il entreprenait. Aviateur dans l'armée Américaine, il est en passe d'être déclaré retraité de l'armée américaine et décoré pour service rendu à la patrie. Ce qui l'arrange en parti, car il n'est pas près à retourner au front, même si parfois il se dit que tout était plus simple là bas. Que tout avait plus de sens. Pour le moment il fait toujours parti de l'armée américaine et peut ainsi être rappeler à tout moment. Depuis son retour d'Irak il lui arrive d'être consultant pour la police, mais il a la flemme de passer le concours d'inspecteur de police, et est trop dans l'illégalité pour faire un réel bon inspecteur. Il est d'ailleurs aussi agent de recouvrement illégal. Taper sur les gens pour les faire payer, leur faire prendre des sueurs froides et ramasser un tas de pognon c'est confortable comme job, en tout cas pour un mec qui sort de l'Irak. Bien sûr étant toujours employé par l'armée de l'air, il lui arrive de faire quelques vols en tant que pilote à travers les Etats Unis, mais en général on le laisse tranquille, la période de réadaptation à la vie civil comme il le dise. Les études Carter les a fait sur le tas, et en ça il est encore plus la honte de ses parents, comme si ça les étonnait de toute façon. Carter fait tout, mais Carter ne fait pas grand chose. Alors si un de ces quatre vous le croisez au bar à deux heures de l'après midi, ça ne sera jamais que chose normal. ❧ traits de caractère → Intelligent ♟ Débrouillard ♟ Renfermé ♟ Dur ♟ colérique ♟ Borné ♟ Brisé ♟ Passionné ♟Mystérieux ♟ Troublé ♟ Dépressif ♟ Audacieux ♟ Solitaire ♟Perspicace ♟ Méfiant ♟ Observateur ♟ Téméraire♟ Intrépide ♟ Distant ♟ Impulsif ♟ Fragile ♟ Con ♟ Libre ♟ Détaché ♟ Possessif ♟ Perturbé ♟ Perdu ❧ signe particuliers → Techniquement Carter est cancer. Mais soyons honnête, ces parents ont du se gourer de mois de naissance. Il n'y a pas plus doux qu'un cancer, plus sensible, plus attacher à sa famille. Un cancer est un grand romantique, qui s'attache, qui rêve. Un mec cancer aime à se faire materner, aimer. Bref un cancer est quelqu'un d'un peu chiant, et mievreux que tout le monde à envie de baffer, principalement Carter d'ailleurs. Il est sûr que Carter n'a pas comme signe particulier son signe astrologique. Bon sinon vous le reconnaîtrez assez facilement. Grand, brun, le visage assez anguleux, et dur, le regard perdu dans le vague, et qui fou un peu les jettons. L'air un peu trop mystérieux, et très sûr de lui. Vous aurez probablement l'impression qu'il vous déteste, là comme ça tout de suite. En vrai c'est lui qu'il ne peut plus sentir, mais il préfère montrer le contraire, plus sain d'après lui. ❧


Carter Alexander Carlton ♚ L'homme n'est que poussière, c'est dire l'importance du plumeau SO-CUUUUTE-3-blair-and-chuck-21410775-376-212 particularités manies et autres → a une cicatrice à l'épaule gauche, résidu d'une balle qu'il s'est pris dans l'épaule et à bien failli lui déchirer tous les muscles ø a une autre cicatrice à l'épaule droite, lorsqu'il à voulu retirer dans un accès de folie, le tatouage de l'armée américaine ø bois trop et trop souvent ø est insomniaque ø fait sans cesse des cauchemars à propos de l'Irak ø ne se sens bien qu'en situation de danger ø ou dans les airs ø Ne finit plus au poste depuis qu'il est consultant pour la police ø mais continue ces activités illégales par la même occasion ø ne couche jamais deux fois avec la même fille ø peut rester des heures faces à l'océan ø siffle à la perfection n'importe quel air ø mâche constamment un chewing gum pour arrêter de fumer ø il n'arrête pas vraiment de fumer ø


❝ EVERYTHING WILL CHANGE.
NOTHIN' STAYS THE SAME. ❞


Carter Alexander Carlton ♚ L'homme n'est que poussière, c'est dire l'importance du plumeau CB-gif-chuck-bass-3785263-300-169depuis combien de temps habitez-vous à new-york ? → Depuis toujours. Je me suis souvent dit que je suis né à New York et que j'y mourrais surement. Les Carlton sont connus pour être de grand casanier, à aimer leur ville, leur famille, et leur terre. Je ne suis pas tellement comme ça, mais New York à tout de même une emprise forte sur moi. Un peu comme la famille d'ailleurs. On la déteste, mais il est difficile de se résoudre à la quitter complètement. Elle nous fait souffrir, mais on le lui rend bien. Je suis surement le pire habitant de New York, tout comme New York est surement la pire ville pour moi, puisqu'elle me permet de montrer le pire de moi même. Bagdad était mieux sans doute. Là bas j'étais un héros parmi tant d'autre, ici je suis un moins que rien parmi tant d'autre, mais il est fort probable que j'en sois le roi. Quand j'ai quitté New York pour l'Irak je me suis dis que j'avais tord, que je ne mourrais pas à New York. Que je laisserais ma peau loin de chez moi. La encore j'ai eu tord. Certain parte trop tôt dans un environnement presque sain, moi je descend en enfer et je trouve quand même le moyen d'en revenir. Maudit, ou putain de chanceux, j'en sais trop rien. Mais New York, à la vie à la mort. ❧ quel est le plus gros regret de votre vie ? → e qui se dit ici, ne sort pas d'ici. Vous le saurez tous inconsciemment, mais je me chargerais d'éclater le premier qui me le fera remarquer. Je suis comme ça, et on ne joue pas avec moi. Le plus gros regret de ma vie est sans aucun doute ma naissance. Je sais bien que je n'y peux rien, que je n'aurais pas pu influer dessus, mais si dès mon plus jeune âge j'avais compris que ma naissance était une connerie j'aurais pu changer les choses, et éviter beaucoup de catastrophe. Sans doute que sans moi Cameron ne serait jamais là ou il est. Joey n'aurait jamais essayé de me sauver. Je ne serais pas la honte de ma famille, le lépreux d'une vie normalement trop belle. Mais je l'ai compris trop tard. Le mal était fait. Depuis ma naissance je suis un poison, qui s'est insinué partout, et contre lequel je ne peux pas lutter. Je pourrais mourir aujourd'hui, mais le mal serait fait. Et ça n'arrangerais rien. Je suis le fruit pourris. La boîte de pandore qu'on aurait jamais du ouvrir. Je suis la peste, le choléra. Et je regrette d'être né comme ça et de n'avoir rien fait. ❧ quel est le plus beau souvenir de votre vie ? →
Vous savez j'aimerais vous dire que je n'en ai aucun, que je suis un petit con malheureux à vie, et que je gâche la vie des autres justement parce que la mienne est gâché. Ca serait pas mieux, mais ça serait presque un peu plus juste au fond. Mais ça serait mentir, et profitons de cette instant de vérité, pour bah voyons, rester dans la vérité. J'ai été putain d'heureux. Le genre de bonheur qu'on croit croiser qu'une fois, et qui revient quand même. Le genre de Karma incompréhensible qui m'a fait croire que Dieu là haut se plantait de personne. Presque le genre de bonheur qui donnerait à n'importe qui l'envie d'être un putain de sain. Sauf que la ou le Karma c'est complètement foutu dedans c'est que je ne suis pas n'importe qui, et qu'aussi heureux que j'ai été je reste un connard, et je m'en veux, d'avoir été heureux, parce que de toute façon je ne serais pas meilleur. Un fruit pourri ne revient jamais à l'époque ou il était bien mur. Non il crève. Je suis le fruit pourri, sauf que je crève pas. Dommage. Pour en revenir à la question, voici l'une des fois ou j'ai été incroyablement heureux. Mieux qu'un orgasme, promis.

Premiers mois en Irak. Tout ce passe mal. Je peux pas piffrer la poussière. Je déteste l'ambiance du camp, la discipline de merde qui me donne envie de me tirer une balle. L'esprit de famille qui règne en permanence et que je pensais avoir quitter. La mort qui te déchire les entrailles alors que tout ce que tu veux être c'est ce putain de connard insensible. Bref je me sens mal, mon crâne veut exploser de complexité. J'ai le mal du pays. Le mal de Jordan, le mal de Jewel aussi. Pour un peu j'aurais presque le mal de Charlie, ou de Jade... Plus que tout j'ai le mal de Cameron, et je me sens con. Putain de con. En plus je suis doué, et ça n'arrange rien. Normalement ça aurait du être Cameron le doué, pas moi. Mais ici je suis un jeune aviateur compétent, un mec presque intègre qui gère le ciel Irakien et qui n'a pas perdu une seule cargaison. Bref je suis un bad ass de l'aviation, et sans mauvais jeu de mot lorsque je suis là haut, je plane. D'ailleurs c'est aussi pour ça que j'ai mal au crâne en redescendant, j'ai le mal de terre par dessus tous les autres. Début de la guerre en Irak, tout puait les tirs de mitraillettes, les bombes explosé, la peur, la poussière, la chair carbonisé, le sang séché, la terre humide de sueur. Moi plus que les autres je suintais la peur. Il y avait peut être que dans les airs ou la peur s'envolait à peut près.
Aujourd'hui je suis de ravitaillement. Mon avion est près, j'ai plusieurs camp à survolé pour leur fournir les vivre qui vont leur servir à subsister pendant plusieurs semaine. Ca fait une semaine qu'on a pas réussit à joindre certain campement. Si je me plante, probable qu'ils crèvent. Normalement j'ai un supérieur constamment avec moi, parce que je suinte la peur en faite. Mais aujourd'hui n'est pas un bon jour. Tout le monde est occupé quelque part. On me tape sur l'épaule et me balance dans l'avion. Tu vas y arrivé Carter Sourire nerveux. Je décolle et tout ce passe bien ou presque. Sauf que le signal radio à été interrompu, et que je suis en territoire Irakien avec quelques hommes aussi flipper que moi, et j'ai entre autre pour ordre de les ramener vivant. Comme on voit rien on vole bas. Comme on vole bas, on est visible. Comme on est visible les soldats Irakiens n'hésite pas à nous tirer dessus. Je ne raconterais rien d'autre qui me ferait passer pour un héros. On est tous sortit sain et sauf de cet mission, le ravitaillement à été correctement apporté. Je suis sortie tremblant de mon avion, et la je crois que je suis tombé face à face avec la plus sexy des filles de l'armée américaine. Bonjour, je suis le colonel Harrison, et il paraîtrait que vous êtes l'un de nos plus prometteur lieutenant. Je crois qu'à ce moment là je suis resté ridiculement muet. C'est Elias, mon compagnon d'infortune qui a répondu pour moi. C'est le lieutenant Carlton, mais je suis sûr qu'il préfèrerait que vous l'appeliez Carter. Je fis un grand sourire pour gâcher mon envie de décapiter Elias et la honte d'être rester muet comme une carpe. Enchantée lieutenant Carter Carlton, on travaillera bientôt ensemble, j'aurais besoin de brillant aviateur comme vous. Sans la quitter des yeux, je répondis à son salut militaire. Bordel s'il y avait une fille au monde capable de me faire oublier Jewel ne serait-ce que dix minutes d'affiler, il fallait au moins que ça soit quelqu'un de la trempe du colonel Harrison. ❧ que vous évoque le mot vivre et mourir ? → Je me fais canarder si je vous dis que vivre et mourir c'est bien du pareil au même ? J'ai côtoyé la mort, je côtoie la mort tous les jours. Et c'est la même chose. Enfin vous avez raison. Pas tout à fait ! La mort est plus douce que la vie. La mort résous bien des problèmes. La mort est belle et sans tâche. La mort rend les hommes aimables aux yeux des vivants. La mort c'est la perfection que nous cherchons tous à atteindre d'une manière ou d'une autre sans jamais osé l'approcher. Parce que si la mort nous paraît douce et belle, nous sommes tous des masochistes. Nous préférons toutes les souffrances que la vie a à nous apporter, plutôt que la mort la plus belle qui pourrait exister. Je suis de ses masochistes là. De toute façon j'ai déjà raté ma mort. Alors il ne me reste plus qu'à vivre en attendant le moment ou je pourrais en avoir une plus parfaite encore. Si jamais c'est possible. ❧



❝ THERE'S NO ENDING. JUST BEGENNING ❞


Carter Alexander Carlton ♚ L'homme n'est que poussière, c'est dire l'importance du plumeau 2iqctpfcélébrité → Ed Westwick ❧ pseudo et âge → Margaux / Twisted Sunshine 18 ans Carter Alexander Carlton ♚ L'homme n'est que poussière, c'est dire l'importance du plumeau 2932675289présence sur fny → Aussi souvent que possible ❧ avez-vous pris un scénario ou un prédéfinis → AN AMAZING PV ❧ possédez-vous d'autres comptes sur le forum → NO COMMENT Carter Alexander Carlton ♚ L'homme n'est que poussière, c'est dire l'importance du plumeau 2867908988code du règlement → EDIT BY MYSELF ❧ commentaires →



Dernière édition par Carter A. Carlton le Mar 22 Nov 2011 - 19:39, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Carter Alexander Carlton ♚ L'homme n'est que poussière, c'est dire l'importance du plumeau Carter Alexander Carlton ♚ L'homme n'est que poussière, c'est dire l'importance du plumeau EmptySam 22 Oct 2011 - 19:27


❝ BECAUSE IT'S IN THEIR SMILES THAT
I REMEMBER MY FONDEST MEMORIES ❞


The begening of the end

❝ Until you let someone in, you'll always be alone ❞




« Vous n’êtes pas exceptionnels, vous n’êtes pas un flocon de neige merveilleux et unique, vous êtes fait de la même substance organique pourrissante que tout le reste, nous sommes la merde de ce monde prête à servir à tout, nous appartenons tous au même tas d’humus en décomposition. »


Jordan,

Je sais ce que tu penses, je me doute bien que tu rêve de me traiter de tous les noms, et de me frapper de toutes tes forces, de me hurler dessus, de m'ordonner de revenir immédiatement. Mais le fait est que je suis parti. Que je reviendrais peut être. Pour toi je veux l'espérer. A force de jouer au con, il y a beaucoup de chose dans ma vie que je n'ai pas dites. Et je sais que tu penses tout savoir de ma vie, tu as vécu beaucoup de ses instants à mes cotés. Je sais qu'on est tellement proche que tu pourrais presque être dans ma tête. C'est presque flippant quand on y pense. Mais je te promet que je suis bien plus compliqué que ça. Comme je suis sûr que tu es bien plus compliqué que ça. Et si jamais je dois ne jamais revenir, je veux que tu sache tout, tout ce que je n'ai pas dis, tout ce que je voudrais te dire. Je veux que tu es le plus de souvenir de moi possible. Parce que j'aurais aimé avoir le plus de souvenir de Cameron possible, je sens qu'un jour mes souvenirs de lui s'effaceront, comme mes souvenirs de la petite enfance se sont effacé, et j'aurais aimé avoir ces écrits pour me rappeler à quel point j'aimais mon grand frère. Alors dans l'hypothèse ou je ne reviendrais pas. Dans l'hypothèse ou tu serais tenté de me haïr parce que j'ai fui une situation inconfortable dans le paradis pour une situation peu confortable dans l'enfer, je veux que tu es tout ça, et que tu puisses te rappeler de tout. Et dans l'hypothèse ou je reviendrais, ou tu me sauteras dans les bras de joie tout en me tapant pour ne pas t'avoir dit au revoir correctement, j'espère revenir avant que tu es tout eu, parce qu'il y a sans doute des choses que tu ne devrais pas savoir. En revanche je t'interdis formellement de le montrer aux parents, ils n'ont rien à savoir de ma vie, rien à savoir de ce que je penses, si vraiment ils veulent lire mes derniers mots je t'en écrirais pour eux, mais j'aime autant qu'ils ne les lisent pas, ça n'apaisera pas leur peine, parce que je les hais profondément. Ils m'ont cassé en mille morceau et n'ont jamais essayer de me fixer. Si vraiment je ne reviens pas Jade et Charlie pourront surement lire tout ça. Parce que je ne penses pas que ça les fasse m'aimer plus ou me haïr plus, et que si elles le veulent, elles ont le droit de savoir. Et puis ce sont mes petites soeurs. Je me suis jamais entendus avec elles, on a toujours eu des différents. Mais ce sont mes soeurs, et elles ont le droit de savoir. Le droit de savoir que j'aurais probablement tout fait pour elles, si elles m'avaient laissé rentrer, si elles n'avaient pas vu ce que mes parents et le monde voyaient de moi. Si elle m'avait vu tel que tu me vois toi.

Je te promet que dans les prochaines lettres je serais un peu moins chiant et triste. C'est un peu glauque d'écrire dans l'hypothèse ou je ne te reverrais pas. Le sable irakien assèche nos larmes et donc le papier s'en sortira intacte, mais si j'avais pu, j'aurais surement noyer mes mots. Je te promet d'essayer d'être un peu plus moi dans les prochaines lettres, histoire de réussir à te faire rire, plutôt que de pleurer à chaude larme. Et comme je veux pas que ma lettre paraisse pour une lettre de suicide. Les gens meurent autours de moi, mais si j'y reste je veux que tu sache que je ne l'aurais pas fait exprès, et que j'aurais tout fait pour éviter ça. Je me suis engagé sur un coup de tête. Etre aviateur dans l'armée américain me paraissait un bon choix pour m'éloigner de mes erreurs. Maintenant je me dis que si j'avais pu rester auprès de toi et fuir tout le reste ça aurait été une meilleur idée. Peut être que si je t'avais demander tu serais venu avec moi. Pas en Irak bien sûr, n'importe tout ailleurs, à Paris peut être. Je ferais tout pour revenir auprès de toi ma belle. Je t'aime et tu me manques atrocement.


Carter Alexander Carlton ♚ L'homme n'est que poussière, c'est dire l'importance du plumeau Tumblr_ll7l9x3ucO1qbfqzlo1_500
Jordan,
Allez je me dis que je vais commencer par faire leur fête aux parents. Parce que tu avoueras qu'on a toujours trouvé sa drôle de leur en faire voir de toutes les couleurs. En même temps ils l'ont chercher. Je crois que je te t'ai jamais raconté ça. Parce qu'on se comprend tellement à demi mot que je n'ai presque jamais eu besoin de te raconter les détails. Je penses que j'avais huit ans. Je ne sais pas si tu te souviens, soirée de Noël avec le tout Upper Est Side. Avec Cameron on avait été d'accord que ça nous faisait chiez d'encore passer nos Noël avec une tripoté de gens riche, de faire des courbette à tout le monde et montrer à quel point on était beau et intelligent. Du coup on avait passé la soirée à vous faire danser toi, Jade et Charlie. Bien sûr je dansais principalement avec toi, et Cameron s'amusait beaucoup à faire danser Jade et Charlie, parfois même en même temps. On faisait beaucoup de bruit, mais comme on s'était mis loin des parents il ne nous entendait pas. Et d'un commun accord on avait finit par vous lâcher toutes les trois en même temps, pris dans le mouvement vous êtes rentrer dans un grand monsieur riche et chiant, qui s'est étalé contre le gâteau de Noël, il en a fait giclé un peu partout autours de lui sur les robes ultra cher des gens, et aveuglé il est tombé dans le sapin à fait tombé pas mal d'aiguilles, de boules qui se sont cassé, à arraché le fils de la guirlande lumineuse tellement fort que ça à fait une étincelle et que ça à fait sauté les plombs. Je te l'accorde ça ressemblait un peu à l'apocalypse. Mais on était tous responsable dans la famille, et on avait trouver ça très drôle. Hilarant même. Même vous trois qui finalement aviez failli vous faire mal en rentrant dans le gros et riche monsieur trouviez ça drôle. Bien évidement on voyait qu'on était coupable parce qu'on avait joué dans le gâteau tombé et qu'on en avait un peu partout. Faut dire c'était tentant. On était dans le noir, et manger du gâteau sur un gros monsieur c'est amusant. Quand on est rentré à la maison, j'étais dans ma chambre entrain d'enlever le costume sale du crime commis. On s'était tous un peu fait grondé, mais rapidement. J'avais cru, et nous tous y avons cru qu'ils avaient compris qu'on voulait fêter Noël avec nos parents et pas une tripoté d'inconnu dans un bal trop long et trop ennuyeux qui n'est pas de notre âge. Mais les parents était rentré dans la chambre. Papa en faite était rentré dans la chambre. Je pensais qu'il venait me dire bonne nuit, comme il l'avait probablement fait avec vous. Mais il m'a retirer ma chemise, sans rien dire, me regardant avec une regard glacial et presque empreint de dégout. Je ne comprenais pas grand chose mais il a finit par dire
Félicitations tu vas bientôt toucher le fond, c’est bien. En temps normal, dis sur un ton badin j'aurais rigoler. Mais là il y avait tellement de haine, de dégout et de honte dans sa voie que j'ai pris ça comme un couteau dans le coeur. La phrase voulait presque dire "tu n'existe plus à nos yeux, crétin", enfin c'est comme ça que je l'ai pris. Pendant quelques temps encore j'ai essayer de m'améliorer, de faire la fierté de parent qui n'en avait rien à foutre. Et puis je me suis habitué à être le vilain petit canard, et j'ai commencer à oublier que j'avais deux parents. J'ai agis comme un orphelin presque toute ma vie. Eux ce n'était que des tuteurs minables, cons, méchant. La marâtre de cendrillon, couplé avec Charmant dans Shrek. Des monstres insensibles que je haïssais plus que tout. Etonnement je n'ai jamais changé d'avis sur eux. Maintenant je penses que je le vis bien. En réalité c'est faut. Je penses qu'il est impossible de bien vivre la haine de ses parents, ni même le fait de haïr ces parents. En réalité je me hais surement plus que je ne les hais eux. Mais comme toute cette haine est de leur faute... Je vais t'avouer quelques choses d'horrible. La première fois que j'ai eu à lancer un missile j'ai pensé à eux. Comme si l'ennemie que j'abattais en légitime défense était mes concepteurs que j'éradiquais de ma vie. On souffre de cette première vie prise, il est dur de relativiser et de dire que tu ne pouvais pas faire autrement. Encore plus lorsqu'on imaginais ces parents à l'autre bout du missile. Mais c'était nécessaire il faut que je passe par dessus eux pour mieux vivre. Et à mon avis ils vont devoir se prendre encore un bon nombre de missile dans la tronche pour que je sois guéris de ce que j'ai souffert à cause d'eux. S'il demande, dis leur que je suis mort en leur plombant la tronche à coup de missile. Ca leur fera plaisir j'en suis sûr.

Je t'aime ma belle, tu me manques.



J-Love,
Aujourd'hui je me suis demandé comment j'allais réussir à te faire rire. Je sais bien que de toute façon je ne pourrais pas entendre ton rire. Il me manque se rire d'ailleurs. Mais être sûr que tu rigoleras me fera déjà le plus grand bien. Donc je me suis demandé comment je réussirais à te faire rire. Alors que soit tu as envie de m'empaffrer pour être parti, soit tu as peur de me perdre à chaque minute, et que si chacune de mes lettres t'indique que je suis encore envie, elles ne font que te rappeler que d'ici peu, si ça se trouve je pourrais ne plus l'être. Du coup soyons clair, je me suis soulé. Parce que chez moi c'est les vacances. Une semaine de permission que je passe dans notre base militaire, loin des zones de combat. J'aurais pu demander à rentrer pour la semaine. Mais c'est pas recommandé. Risque de désertion. Et on sait tous les deux que vu mon taux d'honneur et de et de connaissance du bien qu'il y en moi, je suis un parfait candidat pour la désertion sans aucun regret. Alors je suis sage, et bourré et je rentre pas. Mais bordel ce que tu me manques. Mais ça va un peu mieux. D'abord parce que je me tape un colonel. Enfin une colonel. Tu sais que moi et les mecs c'est un désastre. Toi aussi avec les mecs c'est pas bien fameux, mais il serait cruel de te mettre avec une fille et du coup de sans le faire exprès alimenté mes fantasmes. Pas que je fantasme sur ma soeur. Juste que deux filles ensembles pourraient être un fantasme, enfin avec moi bien sûr. Je disais que j'étais bourré et que je me tape un colonel. Les félicitations sont de rigueur tu ne crois pas ? Colonel Joey Harrisson est sexy à souhait. A vrai dire elle est même belle, canon, trop bonne et tout et tout. En faite elle te ressemble un peu. Brune, le teint un peu plus bronzé que le tient. Une classe à toute épreuve et une détermination à toute épreuve. D'ailleurs ce n'est pas moi qui l'ai eu, mais l'inverse. Tu te rend compte, je me suis fait baiser par une fille. Dans tous les sens du terme, et surtout le littéral. Non parce que ce n'est pas seulement un plan cul. Parfois même je me dis qu'elle pourrait remplacer Jewel. Et si ça, ça n'envoie pas du pâté. J'ai l'impression d'avoir l'alcool triste. Pourtant tu sais bien que c'est pas mon cas. Quand je suis bourré normalement c'est les seuls fois ou je me montre chaleureux, drôle, génial. Là j'ai juste l'impression d'être tragique. Tu me manques ma belle. C'est toi mon alcool joyeux.



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J-Love,
Sister, j'ai bien reçu ta dernière lettre, je la garde à l'intérieur de ma veste, contre mon coeur. J'ai beaucoup aimé les photos que tu m'a envoyé. Ca ma rappeler ce qu'on était. Si je me souviens bien c'était l'année dernière, le gala de printemps pour la final de polo. Je sortais tout juste avec Jewel, et je ne faisait que te parler d'elle si je me souviens bien. Et toi tu riais fort. Parce que tu ne m'avais jamais vu aussi enjoué, aussi niais et inintéressant quand on y pense. Tu me disais que tu voulais la même chose, une jolie histoire que je pourrais garder en mémoire. Maintenant ça me fait rire. J'étais à des lieux de penser que ça pourrait si mal ce terminer. Moi me faire dégommer par le copain de ma soeur parce que je sors avec la sienne. Lui se faire arrêter pour le meurtre de mon frère, et au final deux histoires qui finissent caser au rang de Roméo et Juliette des temps moderne. Je ne sais plus si je t'ai véritablement raconter la fin. Parce que je me suis enfui tout de suite après ça. Tu n'as peut être même pas eu l'occasion de voir les coquard que j'avais et l'enfoncement dans mes cotes. Ils m'ont d'ailleurs obligé à aller à l'hôpital avant d'intégrer l'armée. A cet époque j'avais fini par me rendre compte que Jewel était la soeur de Devon. Je me souviens avoir casser un vase dans la maison lorsque je l'ai appris. Je me suis coupé avec d'ailleurs. Devon n'a jamais été ma tasse de thé, peut être parce que c'était le copain de Charlie, et peut être parce que il trainait sans cesse avec Cameron. Et puis il n'y avait aucun moyen qu'un frère puisse m'accepter comme copain de sa soeur. Alors en plus si c'est son jumeau et qu'il doit connaître tous mes méfaits de la bouche de Charlie... Sauf que lorsqu'on en vient à Jewel je suis un minable incapable de prendre une décision rationnel. Et lors de ma tentative de rupture préventive elle a littéralement détruit toute ma contenance. Cette fille est parfaite pour moi, mise à part que je n'aurais jamais du me retrouver avec elle. Ce soir là j'étais chez elle. Je ne te raconterais aucun détail sur ce qu'on a bien pu faire, tu es ma soeur et Jewel ton amie, ça serait bizarre. Tout ce que je peux te dire c'est que je suis rentré d'excellente humeur, pour un peu j'aurais chanter dans les rues. Et de toute façon depuis que je sortais avec elle, je ne fumais plus. Je rentrais chez moi. Parce que depuis que je savais qu'elle était la soeur de Devon j'évitais de rester chez elle, elle m'avait déjà convaincu de rester avec elle, de toute façon j'aurais surement pas pu faire autrement, mais tant qu'à faire je préférais évité que Devon me trouve chez lui. Quoique lorsqu'on y pense c'est souvent lui qui est chez moi, et que je ai jamais refais le portrait pour ça. Parfois je me dis que je faibli. Donc je suis rentrée à la maison, de bonne humeur, devant ma porte je croise Devon, effectivement j'ai bien fait de rentrer sinon il aurait finit par nous tomber dessus. Je le salut poliment, c'est ça qu'on fait lorsqu'on est de bonne humeur et lorsque ta petite copine t'empêche de jouer au con non ? Rentre bien Devon. Soudainement le temps s'arrête, Devon se retourne et me lance d'une manière très froide. C'est ce que tu lui as dis lorsque tu as tiré ton coup ? Je crois que j'ai paru surpris sur le coup, parce que je m'y attendais pas. Je fronce les sourcils, peut être que si je montre que je vois pas de quoi il parle il me laissera tranquille, après tout il ne peut pas avoir de preuve. Euh... Peut être, enfin si je savais de qui tu parlais... Devon me poussa violemment contre le mur, et me bloqua au niveau du coup. Je ne savais pas ce qu'il avait fait avec Charlie, mais ça ne l'avait pas mis de bonne humeur. Arrête de me prendre pour un con connard. Je t'ordonne de lâcher ma soeur. Je sais pas ce qui m'a pris de vouloir tout nié, comme si je pensais que ça pourrait m'aider contre lui. Je levais les mains en signe d'innocence Je te l'ai déjà dis, je ne sais pas de quoi tu parles, je ne sais même pas comment s'appelle ta soeur. Là un coup violent parti et s'abattit dans mon ventre. J'encaissais pendant que Devon me rattrapait par la tête pour me replaquer contre le mur. Non seulement tu te la tape mais en plus tu ne sais pas son nom ? Je vais te détruire espèce d'enfoiré. Toujours en me tenant par le col il me renvoya un coup de poing dans le ventre, ça c'est pour avoir touché ma soeur, alors que je m'étais plié en deux de douleur il envoya son genou dans ma tête, me pétant le nez, ça c'est pour m'avoir pris pour un con Tout me criait de me défendre, sauf que j'avais mal partout, et que Jewel apprécierait probablement pas que je démolisse son frère. D'accord je sors avec Jewel. Mais elle est grande tu sais. Et je lui ferais jamais de mal. Je tiens vraiment à elle tu sais. Et puis est ce que tu l'as vu malheureuse ces derniers mois ? Hein ? Est ce que tu l'as déjà vu pleuré. Hurlé après un mec que tu ne connaissais pas ? Non... Elle est heureuse, elle sourit, elle rie, elle va bien. Je pourrais pas en dire autant de Charlie... Je prend soin de ta soeur, alors que toi tu détruis la mienne... Alors qui devrait se retrouver à ma place ? L'accuser lui n'étais surement pas une bonne idée, mais de toute façon il avait envie de me faire la peau, alors autant dire ce que je pense. En quelques coup il me foutu par terre et continua de me frapper en disant avec haine On sait tous les deux de quel bois tu es fait. Tu es con, et elle c'est une princesse. Alors je vais être claire. Tu l'approche encore une fois je te tue. J'espère mettre fait comprendre. Je suis resté suffisamment longtemps allongé par terre devant la maison pour avoir le temps de comprendre ce qui venait de ce passer. J'avais eu tord de cédé à Jewel lorsque j'avais appris qu'elle était la soeur de Devon. Non seulement maintenant j'étais plus amoureux d'elle que jamais, et en plus Devon était au courant et à moins d'un miracle je me ferais dérouiller sérieusement la prochaine fois que j'approcherais ça soeur. Je ne t'ai rien dit sur le coup, parce que je me sentais con. Parce que je pensais qu'il avait raison, que j'étais un con, elle une princesse et que je ne l'avais jamais mérité. A quoi bon te montrer l'état dans lequel j'étais. C'était lâche de fuir, mais c'était mieux pour tout le monde. Je suis vraiment désolé. Au faite, on est bien d'accord tu ne dis rien de tout ça à Jewel, il vaut mieux qu'elle me déteste. Comme ça le jour ou je reviendrais je n'aurais plus la tentation de me remettre avec elle, et je ne prendrais pas le risque qu'elle déteste son frère. Elle a besoin d'un mec fort à ses cotés qui pourra la protégé. Même si ce dernier c'est foutu dessus et qu'il est en taule. Je t'aime.

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MessageSujet: Re: Carter Alexander Carlton ♚ L'homme n'est que poussière, c'est dire l'importance du plumeau Carter Alexander Carlton ♚ L'homme n'est que poussière, c'est dire l'importance du plumeau EmptyJeu 17 Nov 2011 - 21:12



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« Si je ne disais rien, les gens supposaient toujours le pire. »


J-Love,

Aujourd'hui j'ai eu la peur de ma vie. Mais ce n'était rien, juste un saut de coeur, ce qui me laisse d'ailleurs pensées que j'en ai encore un. Pourtant tu sais bien que tout le monde doute de ma capacité à en avoir un. D'ailleurs je me suis demandé si je devais démentir tout ce que je n'avais pas fait, pour le cas ou je meurs, qu'on réhabilite ma mémoire... Mais je ne suis pas vraiment sûr d'en avoir envie. Après tout du moment que tu sais la vérité, les autres sont juste des cons qui ne pensent que ce qu'ils pensent. Plus le temps passent, plus je suis d'une clarté à coupé le souffle. Mais aujourd'hui, après avoir eu la peur de ma vie, je me suis dis que s'il y a bien une chose que je laisserais bien à la postérité, ce n'est pas la liste des méfaits que je n'ai pas fait, ni même les plus plates excuses que je ferais à ceux que j'ai fait souffrir, mais plutôt le manuel du parfait connard. Parce que de toi à moi, on peut se l'avouer, j'étais un connard de première classe, un qui à la classe. Si tu es sage, je te ferais même un dix bonnes raisons d'être un connard. Mais seulement s'il me reste assez d'encre, parce qu'écrire avec des restes de café, je l'ai fait la dernière fois, mais c'est moyennement drôle. Je te présente le manuel du parfait connard. Pour commencer la règle principale est que le parfait connard est conscient d'en être un. Sinon ce n'est pas véritablement un connard, mais c'est un con, un abruti, et vraiment ceux là il faut les abattre parce qu'ils sont dangereux. Car la conscience c'est le pouvoir. Je fais des conneries, autant qu'un abruti, mais comme je suis conscient de les faire, et que je les fais quand même, je suis un connard. Ca implique donc que si je le voulais et bien je pourrais ne pas les faire. Alors que l'abrutit ne pourrait pas, puisqu'il n'est pas au courant qu'il fait des conneries. J'ai toujours été très conscient de ce que je faisais. Trop conscient peut être. Mais c'est une autre histoire. Deuxièmement le parfait connard n'a pas peur du regard des autres. C'est une évidence, je le sais bien, mais il est toujours utile de le répéter. Car les gens n'aiment pas toujours les connards. Bien sûr ça arrive, et même souvent, et c'est assez douloureux pour ces gens étranges qui s'attache aux connards. Bien que parfois ces gens étranges finissent par adoucir les connards en question et par les rendre moins con. C'est d'ailleurs je crois la seule manière de retirer la connerie d'un connard. En tout cas, les gens n'aiment pas les connards en général, et comme on est forcément conscient d'être un connard pour en être un, on est aussi conscient que la majorité des gens ne nous aiment pas, et le but de la manoeuvre est de s'en foutre royalement. Troisièmement il faut se détester profondément. Parce que jusque là je n'ai pas encore trouver d'autre solution pour s'en foutre royalement d'être un connard que de ce détester. En même temps c'est un peu un cercle vicieux, au début tu es un connard conscient, parce que c'est drôle. Ensuite tu te rends compte qu'on aime pas les connard, et tu n'aime pas ça. Du coup tu es encore plus conscient d'être un connard, et tu deviens comme la généralité, tu n'aime pas ça. Hop du déteste le fait d'être un connard, mais trop tard, tu en es un, donc tu finis par te dire que tu t'en fiches des autres, parce que c'est ce qu'un connard penserais, et que tu en es un, et puis que c'est drôle... Quatrièmement tu ne dis rien. Les connards doivent resté mystérieux, ils ne sont pas vantards, parce que ça le fait pas de se vanter de ces conneries. De plus avec la connerie vient la légende, et la légende doit venir toute seule si vous voulez en être auréolé. Je ne dis jamais ce que j'ai fais, et je ne déments jamais non plus les accusations, le silence est ma seule défense, et ma seule attaque finalement. Quoiqu'en général on suppose toujours le pire, mais c'est ce qui alimente la légende. Cinquièmement et dernièrement il faut avoir une famille de dingue. Souvent les conneries sont drôle parce qu'on a quelqu'un a emmerder. Et la première personne qu'on a souvent envie d'emmerder c'est la famille. Du coup plus notre famille est dingue plus on a envie de les emmerder, plus on trouve sa drôle d'être un connard. Et vous pouvez donc vite supposer que je suis sans conteste le roi des connard.


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J-Love,

Aujourd'hui je me suis surpris à penser au jour ou je reviendrais. Parce que je te l'ai promis, je reviendrais. Tu serais forcément la première au courant et tu ne l'aura dis à personne d'autre parce que le jour de mon retour je ne veux voir que toi. Toi seul toute la journée, pour me rattraper un peu le temps perdu, le temps que tu as passé à m'attendre. Tu seras là sur le tarmac à attendre que je rentre. Tu hésiteras entre me sauter dans les bras, et me foutre une gifle incroyable pour être parti. Finalement tu choisiras de me sauter dans les bras. Parce que aussi fatigué que je serais je te sourirais. Un sourire franc que je ne n'aurais jamais porté en Irak. Un sourire que je ne fais qu'à toi seul. Et surprise ! Je ne reviendrais pas seul. Parce qu'il y a une bonne chose à mon départ pour l'Irak. C'est que j'ai rencontré le meilleur des prétendants. Le mec qui fera battre ton coeur, et qui ne me mettra pas en boule. Le mec absolument parfait pour toi. Bien sûr je veux pas me la jouer vieux jeux et t'obliger à l'épouser. De toute façon même toi quand tu le verras tu voudras que je t'oblige à l'épouser. Je ne plaisante pas, il est magnifique. Enfin ça ce n'est pas moi qui le dit, tu sais bien que mes tentatives de devenir gay on largement échoué, mais c'est Joey. Elle me préfère moi bien entendu, mais elle dit qu'Elias est une bombe sexuel qui tenterait n'importe quelle fille. Tu n'es pas n'importe quelle fille, mais je suis sûr que tu te laisseras tranquille. En plus il prend soin de ton grand frère, et c'est surement le meilleur ami que je n'ai jamais eu. Il est franc et drôle, loyal et sûr. Il est intelligent et même brillant parfois. Ici c'est un peu un ange tomber du ciel. Le mec qui n'a rien à faire là, mais qui est fait pour être un héros. D'ailleurs c'est un peu pour ça qu'il est là. Enfin inconsciemment parce qu'il est trop modeste pour le dire, mais il sera un grand héros de guerre. Il est venu pour l'Amérique. Parce qu'il a de forte valeur. Après bien sûr je te vois venir tu vas me dire que c'est un enfant de coeur... Je vais pas te dire toutes les frasques qu'il a faite, mais il en est tellement fier qu'il te les racontera surement à votre premier rendez vous. C'est un vrai robin des bois. Un joyeux luron dont on ne peut pas se passer. J'ai bien l'impression que je fais de la propagande pour lui, mais il faut dire que j'aimerais tellement te voir heureuse, et te voir avec un mec bien que je n'aurais pas envie de détruire immédiatement. Et puis je me suis dit qu'une lettre comme celle-ci te changerait de la norme. Enfin bref attend toi à trouver ton futur époux dans l'avion qui me ramènera à la maison. D'ailleurs autre chose parfaitement importante, je lui ai montré la photo que j'avais de toi, parce que oui, lui non plus je ne vais pas l'obliger à t'épouser. Mais soyons honnête, tu es la meilleure femme qu'il puisse trouver au monde, et rien que ta beauté le lui montre. Et comme monsieur est un gentleman il n'a pas du tout fait de remarque comme quoi tu étais bonne. En même temps il l'aurait fait que je lui aurais coller mon poing dans la figure. Après je te promet pas que maintenant il ne pense pas à toi lorsqu'il s'astique le manche, mais du moment qu'il ne me le dis pas, je m'en fiche et ne vais pas le taper pour ça. En plus je suis sûr que ça te plairait d'être dans les fantasmes d'un beau militaire. Je t'aime fort, tu me manques.



Jordan,

Lettre jamais envoyée.

Je sais bien tout ce que je t'ai promis. Je t'ai promis de m'en sortir. Je t'ai promis de te revenir. Mais je suis fatigué et un fusil dans les mains mes promesses perdent soudain tout leur sens. Qui suis-je pour te promettre de tel chose ? Un petit con qui pensait que la guerre se passait comme dans les contes de fée ? Ou les gentils s'en sortent toujours bien ? Mais dans ce cas là pourquoi ai-je pensé que je pourrais m'en tirer ? Tout est plus dur que je ne le pensais. Ma tête veut exploser à chaque seconde et je me perds moi même. Les jours passent et se ressemble, à chaque goute de sang versé je me sens partir, je me sens dépérir et je ne serais bientôt que l'ombre de moi même. J'en vois certains qui rentrent chez eux parce que blessé, et qui ne ressemble plus à rien. Pas physiquement, mais mentalement. On ne peut pas comprendre ce qui se passe ici, et on reviendra tous la tête mitraillé et enterré dans des couches de sable, si jamais on revient. Je sais bien tout ce que je t'ai promis. Mais je m'enterre un peu plus chaque jour et j'ai mal, je ne supporte pas de me voir partir. Je ne peux pas imaginer rentrer et n'être qu'un zombie de ce que j'ai été... Je ne m'imagine pas t'imposer ça. Je voudrais que tu me laisse partir. Que tu me laisses finir ce que j'ai commencé dès ma naissance et que tu ne m'oblige pas à revenir complètement brisé. Parce que je serais près à le faire si tu me le demandais, mais je ne serais plus qu'un pauvre diable prisonnier des armes ennemis, brisé dans tout, et qui n'a plus d'âme. Je suis fatigué, et je ne suis bientôt plus que l'ombre de moi même. Il faut que tu me laisses partir. Je t'aime et je suis désolé.



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Jordan,

Tu sais les réputations collent à la peau. Et la plus part du temps je ne m'en plein pas, je m'en fiche et j'en joue. Au moins ma réputation m'a souvent évité d'avoir des sangsues qui viennent s'accrocher à mes basques. Parce que je fais peur paraît-il. Tu y crois toi que je fasse peur. Il est vrai que j'ai un tempérament de tête bruler qui peut laisser penser que je suis quelqu'un qui n'a pas de limite, et qui pourrait faire de votre vie un enfer. D'ailleurs ceux qui pensent ça n'ont pas tord, j'ai peu de limite et peut faire leur vie un enfer. Prenons un exemple simple qui met arrivé récemment. Je ne sais pas si je t'ai parler de mes migraines... Quoiqu'il en soit il semblerait que le sol Irakien ne m'aime pas trop et que ma tête ne s'habitue pas du tout à mon environnement. Il paraît que c'est normal, que ça finit par passer et que c'est le mal du pays... Tu m'imagines moi avoir le mal du pays. Ne soyons pas idiot, tu sais aussi bien que moi que j'ai seulement le mal de toi. Tout ceci pour dire que mon mal de tête ne faisait qu'empirer au lieu de passer comme c'était sensé se passer. Et comme il est courant dans les campements on avait fouillé mes affaires. Au cas ou on trouvait quelques choses de croustillant à se mettre sous la dent... Tu te doute bien que j'avais emporté des photos. Une photo de toi... Et ne rigole pas, et ne me juge pas... Une photo de Jewel. Je sais que c'est pas ce qui va m'aider à tirer un trait sur elle, mais je l'ai trouver dans mon porte feuille et j'ai pas osé la jeter. Et son sourire me réconforte toujours autant... Tout comme le tien d'ailleurs, mais tu te doute bien que ce n'est pas pareil. Et ne va pas t'imaginer de chose bizarre, les militaires ne sont pas tant en rut qu'on le laisse penser. Enfin bref, je ne sais pas pourquoi je n'avais ses photos sur moi, quoiqu'il en soit un crétin les avait trouvé. Et il m'imaginait déjà entrain d'hésiter entre la brune et la blonde. Moi qui convoitait le colonel Harrison, une splendide brune ça allait surement me desservir de sortir ces deux photos. Et puis imaginer que je puisse sortir avec toi c'était trop. Je l'aurais bien attrapé au coup lui foutant une beigne formidable et disant « C'est ma soeur connard! » Mais on peut pas vraiment se permettre de taper sur les gens ici, sinon on se prend un avertissement disciplinaire, et soit on nous met en isolement, soit on nous envoie dans des endroits plus dur que d'autre. Et autant dire que moi et mes migraines j'avais intérêt à me la jouer soft. Il fallait donc que je trouve une manière de me venger tout en restant dans les règles, et tu te doute bien que c'est une première pour moi. Mais que je ne pouvais pas non plus laisser passer ça. Moi aussi j'étais aller fouillé dans ses affaires, et j'avais rit en trouvant des lettres de sa mère. D'abord parce qu'elle lui donnait un tas de surnom ridicule, et puis que tu te doute bien que l'idée qu'un grand dadet comme ça soit encore attaché à sa mère alors que je me tape de la mienne comme pas possible je trouvais sa drôle. Moi qui ne connait pas l'amour maternel je trouvais ça ridicule au lieu d'être jaloux. En même temps même la mère la plus aimante du monde ne pourrait pas m'appeler poussin du me dira. J'avais écris sur le sol, au milieu du campement tout un passage, le plus ridicule possible de la lettre de sa mère. A ce passage j'avais joint un appel à l'aide de son poussin en mode E.T. téléphone maison mais en plus pathétique. Tout le monde avait rit à n'en plus pouvoir. Et le mec était rouge de honte autant que vert de rage. Mais je crois qu'il a compris la leçon et qu'il ne m'emmerdera pas de sitôt. D'ailleurs jusqu'à maintenant personne ne m'a embêter. Comme quoi je regagne ma réputation assez vite, peut importe le contexte, et même quand je suis le plus jeune de la bande. Mais ici ma réputation n'est pas pesante, contrairement à Manhattan. Tu m'en veux surement, mais c'était la meilleur chose à faire. Je ne pouvais plus vivre à Manhattan. Trop de culpabilité et de souffrance. Et je ne pouvais pas te dire au revoir en face sans quoi je ne serais jamais parti. Ou je suis lâche, je suis désolé de te l'avoir montré. Mais peut être que c'est mieux comme ça. Peut être qu'enfin toi aussi tu verras qui je suis réellement et que tu t'affaireras à des gens qui en valent la peine. Ca me tuera probablement, mais c'est surement ce qu'il y a de mieux pour toi. Je t'aime ma belle. Tu me manques.

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MessageSujet: Re: Carter Alexander Carlton ♚ L'homme n'est que poussière, c'est dire l'importance du plumeau Carter Alexander Carlton ♚ L'homme n'est que poussière, c'est dire l'importance du plumeau EmptyJeu 17 Nov 2011 - 21:35



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« Je suis le cœur brisé de Jack. »


J-Love,

Je ne pensais pas pouvoir dire ça un jour. Je pensais que j'allais resté un pauvre con amoureux à vie d'une fille qu'il ne peut pas avoir, et j'arrêtais pas de me dire que franchement c'était con et misérable et puis que ça mènerait à rien. Mais peut être que je ne suis pas un cas désespéré. Peut être que je ne suis pas perdu et que je peux aimé encore. Peut être que je peux trouver quelqu'un pour remplacer Jewel. Elle est très différente, enfin je crois. Parce que par moment j'ai l'impression de revoir Jewel derrière elle, et ça fait mal. Joey est forte, et déterminé. Elle a une classe pas possible, il faut dire qu'elle est colonel, et que ça en impose tout de même. Elle est fiable et drôle. Elle ne baisse pas les bras et vie dans une sorte d'optimisme constant alors qu'ici c'est l'enfer. C'est une boule d'énergie et de douceur incroyable. D'accord elle n'est peut être pas vraiment différente de Jewel, mais quand je suis avec Joey j'arrive à ne penser qu'à elle et à oublier Jewel, et pour le moment je crois que c'est l'essentiel. J'arrive pas encore à savoir ce que Joey peut bien me trouver. Certes je suis l'un des meilleurs aviateurs de la base, et je suis jeune et bien foutu... Mais je crois qu'elle aime ma fragilité. Je ne me suis toujours pas fait à la guerre. Moi qui pensais que je serais plus fort que ça, je suis un peu une loque ici. Et Joey est l'une des seules personnes qui m'aide un temps soit peut. La dernière fois j'étais coucher dans la tente, incapable de me lever tellement ma tête me faisait mal. Tout bougeais à vive allure, les piquets de la tente rentraient brusquement dans mon crâne. Les tisons faisaient de même et me brulait chaque parcelle de mon cerveau encore viable. Après on se chargeait de jeter de l'eau glacer sur les braises histoire de tout faire rentrer en ébullition. C'était l'enfer dans ma tête, et rien qu'à l'expression de mon visage Joey avait sur comprendre ce qui n'allait pas. Il faut dire que ce n'était pas compliqué, mon visage était rayer d'un rictus de douleur que je ne parvenais pas à calmer et pourtant je ne suis pas une poule mouillé. Joey est venu s'assoir derrière moi et à remonter ma tête pour la mettre sur ses genoux. Elle m'a masser le crâne avec ses mains froides pendant une bonne demi heure. Dans le silence le plus complet j'ai réussit à m'endormir contre elle, et à presque oublier le fait que j'étais en Irak et que j'avais mal à la tête. Parfois je me dis que c'est ridicule. Je ne suis pas vraiment du genre à tomber amoureux. Mais elle est toujours là, et son sourire me fait fondre. Je m'accroche à son sourire comme à une bouée de sauvetage. J'ai peur que si j'arrête d'aimer, et de m'adoucir je devienne soudainement un monstre, et que j'oublie toute humanité. Ici il y en a beaucoup qui ont tout perdu, et ce n'est pas beau à voir. Je crois que je préfère encore devenir un coeur d'artichaut plutôt que de perdre tout espoir en la vie et en l'humanité. Je ne veux pas disparaître comme tout ces types autours de moi on disparu. Joey m'aide à me sentir vivant. Peut être que c'est elle qui me sauvera. J'aimerais pouvoir te la présenter. Je t'aime, tu me manques.


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J-Love,

Lettre jamais envoyée.

Je voudrais que tu me dises. Que tu m'expliques à quoi bon peut servir la vie. On me dit qu'il faut croire au Karma, qu'il faut croire en Dieu tout puissant, qu'il faut croire en l'homme, qu'il faut croire en la science, qu'il faut croire en la vie. Mais le karma dégomme des gens géniaux qui n'ont peut être rien fait de mal de leur vie, alors que des connards comme moi il les laisse aller en paix... Je sais bien que perdre ces proches ça fait souffrir, mais est-ce que le Karma pour m'en faire baver est obligé de tuer des innocents. Ca marche vraiment à sens unique cette connerie. Si tu es un con tu te prends de la merde sur la tronche, mais si tu es gentil et bien merde quand même. Le Karma est socialiste. De la merde pour tout le monde. Dieu je ne t'en parle même pas, je pense que c'est une appellation différente du Karma, avec la différence qu'il est amour mais, comment te dire... Pour le moment je n'ai vu que ça toute puissance. L'homme est une vaste connerie, on fait tout de travers et on prit un Dieu invisible pour qu'il répare nos erreurs, on se plaint d'un Karma mal ranger mais en général c'est nous qui le dérangeons. La science est ici pour servir notre connerie mal placer, et la vie. La vie, elle est toujours là quand il ne faut pas et en général elle nous lâche quand il ne le faut pas non plus. Bref, je veux que tu m'expliques. Que tu me dises à quoi peut servir la vie. Joey est morte et moi je suis nommé lieutenant-colonel. Toi aussi ça te fait rire ? Ton frère lieutenant-colonel ?! Ca m'aurait surement fait un choc si j'en avais eu quelques choses à foutre. Je ne comprend pas l'intérêt qu'on les gens on a mourir à ma place. Je voudrais juste dire abattez moi tout de suite, une balle en plein coeur et qu'on en finisse. Que lui est-il passer par la tête quand elle a vu se mec tirer pour vouloir me protéger, et me pousser, même si elle y restait ? Normalement on a l'ordre de désarmé et non de tuer, mais celui là c'est pris une balle dans la tête et c'est tout ce qui importe.
Elias m'a surement arraché les dernières larmes de douleur que je pouvais avoir, les dernières larmes que j'aurais jamais, et peut être même les derniers sentiments. On devait rentrer la semaine prochaine, l'Irak c'était fini pour nous, et on allait tous vous retrouver. Et il aura suffit d'une seconde, d'une attaque en pleine nuit. D'une attaque surprise pour qu'il se fasse tuer. Bien sûr j'étais trop loin pour faire quoique ce soit. Mais j'étais là, et je l'ai vu, c'est pour ça que je ne faisais pas attention, c'est pour ça que Joey à fait attention pour moi. C'est pour ça que je suis le plus gros connard de l'univers, incapable de protéger ceux qui compte et qui laisse ce qui compte le protégé. Et avec ça je suis lieutenant-colonel de l'armée américaine. Si tu savais comme je ne le mérite pas, et si tu savais comme je les emmerde. De toute façon il n'y a pas grand chose qui compte maintenant. Peut être te revoir. Et encore si tu ne me pardonnais pas d'être parti. Je te promets que je n'y survivrais pas.



Jordan,

Lettre jamais envoyée.

Ceci est la dernière lettre Irakienne que tu recevras. Parce que je rentre demain. Je suis resté plus longtemps que prévu. Trop de mort son survenu et ils avaient besoins d'homme. Je dois dire que je m'en fiche, je n'ai plus mal à la tête, et je crois qu'après toutes ces années j'ai enfin finit par m'habituer à la chose. De toute façon ici je n'ai plus grand chose à perdre. Je ère sans but lors de mes moments de pose. Les seuls moments que j'apprécient sont ceux ou percher dans mon avion je survole le sol Irakien comme si c'était la dernière fois, qu'à la fin de la course je me cracherais en beauté. Bien sûr je ne me crache pas. Parce que le Karma à visiblement d'autre plan pour moi. Mais l'idée de m'éclater dans le ciel est splendide, au moins je me rependrais enfin comme une trainer de poudre, exactement comme je le faisais en étant vivant mais de manière plus littéral. Peut être même que mes cendres éparpiller empoisonneront le monde, comme je l'ai fait de mon vivant. Je suis le meilleur zombie du monde, les autres n'osent plus me parler de peur de ce prendre une beigne. Ce que je ne ferais pas puisque c'est contraire aux règles, mais mon regard indique le contraire. Je vis les poings serré, le visage dur, la tête vide. Je ne suis même pas sûr de vouloir revenir. Comment pourrais-je m'acclimater à ce nouveau monde que je ne maîtrise plus. Je ne suis même pas sûr que tu seras là pour m'aider. Je ne suis pas sûr que tu me reconnaîtras. Que tu me supportes encore. Je ne me reconnais pas. Je ne me supporte plus.



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On ne s'en remet jamais. De la mort. D'avoir tuer. De la guerre. De l'amour et de la haine. On ne s'en remet jamais. Alors il est évident qu'en un mois on est remis de rien du tout. On est à peine cicatrisé. On est à peine cicatrisé et les gens ne nous voit même pas comme blessé. Longtemps Carter a passé ses journées dans le noir, pour essayer de dormir. Mais pas moyen. Le sommeil ne vient pas, comme s'il manquait les bruits des mitraillettes, le sable qui s'insinue partout, et la chaleur à mourir. Il avait finit par sortir. Parce qu'il ne pouvait pas continuer sur cette lancer. Et que les gens finirait par s'en rendre compte. Mais il n'avait pas hâte d'affronter leur regard, leur parole, et dans sa tête valait mieux tous les champs de batailles du monde plutôt que de revenir dans l'enfer New Yorkais et de replonger dans la vie désastreuse de Carter Carlton vilain petit canard. Il sursautait encore au moindre bruit de klaxonne et se précipitait en courant lorsqu'il entendait une sirène de pompier. Il vivait dans un monde parallèle ou tout n'était que flash d'horreur. Ca ne faisait qu'un mois et il avait déjà le sentiment que tout sa ne partirait jamais. Qu'il ne serait jamais propre de la guerre. Qu'il ne retrouverait jamais la paix. Il était sorti toute la journée. Il avait èré dans les rues comme il èrait dans les camps à la fin de son service en Irak. Il avait croisé un petit propriétaire essayant tant bien que mal de réclamer le loyer de plusieurs mois à ces locataires récalcitrant. Surement des mecs qui se croient tout permis pour la simple raison qu'ils sont dotés de muscles contrairement à leur propriétaire. Dès que le petit homme fut reparti bredouille Carter était rentrer dans l'appartement et avait fait ce dont il avait rêver de faire pendant plusieurs année. Taper un bon coup le mec, lui foutre la peur de sa vie, et repartir avec ce qu'il avait demander, c'est à dire les mois de loyer. Il excellait dans la rage, et c'était d'ailleurs l'un des seuls sentiments qu'il arrivait à atteindre. Le reste semblait bloquer. Le soir alors qu'il rentrait chez lui il croisait son regard dans le miroir et envoyer valser son poing dedans. Il ne fit même pas attention au bout de verre qui s'écrasèrent dans l'évier, ni au sang qui perlait sur le dessus de sa main. Il chercha à s'allonger, mais à peine il eut fermé les yeux les flash recommencèrent. Elias, Joey. Sa respiration se faisait de plus en plus saccadé, sa mâchoire se serrait et tout son corps se rédissait. Il se leva d'un bon et se dirigea vers l'évier tout en subissant l'assaut de ses souvenirs douloureux. Il alluma l'eau et s'en aspergea le visage pour se remettre les idées en place, mais il reçu comme une décharge. Deux coups de feux tirer, et deux corps qui tombaient sans fin. Deux corps qui n'étaient pas le sien. Il ramassa instinctivement, comme en transe l'un des morceaux de verre qu'il avait fait tomber dans le lavabo et s'entailla largement le bras sur lequel reposait un tatouage de l'armée américaine. Il le railla plusieurs fois sans faire attention aux sang qui s'échappait des blessures. Il finit par s'évanouir aveuglé par la rage, meurtrit et brisé. Il le savait il ne serait plus jamais comme avant. On ne pouvait pas oublié. Une fois réveillé il recousit lui même les entailles qu'ils s'était fait, refusant d'aller chez un médecin qui l'enverrait immédiatement chez un psy. Que pourrait faire un psy de toute façon ? C'était un cercueil dont il avait besoin.

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MessageSujet: Re: Carter Alexander Carlton ♚ L'homme n'est que poussière, c'est dire l'importance du plumeau Carter Alexander Carlton ♚ L'homme n'est que poussière, c'est dire l'importance du plumeau EmptyJeu 22 Déc 2011 - 16:39

L'homme de ma vieeeeee Carter Alexander Carlton ♚ L'homme n'est que poussière, c'est dire l'importance du plumeau 4111013633 ta fiche est tellement wahou j'ai adoré quoi omg je suis tellement pressé de jouer nos perso Carter Alexander Carlton ♚ L'homme n'est que poussière, c'est dire l'importance du plumeau 196102981 Carter Alexander Carlton ♚ L'homme n'est que poussière, c'est dire l'importance du plumeau 1497823642
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