FREEDOM NEW YORK • I HAVE A DREAM
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
Le deal à ne pas rater :
Soldes d’été 2024 : trouvez les meilleures promos !
Voir le deal

Partagez|

► présentation Jackson

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
WELCOME TO NEW YORK
 TWISTED SUNSHINEThe bitch is back
Billy S. Anderson
Billy S. Anderson
TWISTED SUNSHINE
The bitch is back

SOMETHING TO SAY
❧ messages : 20
❧ pseudo : Twisted sunshine
❧ celebrity : Kirsten Bell
❧ copyright : © Avatar : Foolish Blondie ♠ Gif : LastBreath ♠ Signature : Wild Heart & Blackbird ♥

PIECES OF MY MEMORY

YOURE IN MY VEINS
❧ your deepest fear: Mostly myself. You can't imagine how dangerous i am...
❧ time of our lives :
❧ to do list :
► présentation Jackson Vide
MessageSujet: ► présentation Jackson ► présentation Jackson EmptyLun 9 Mai 2011 - 10:07


Jackson Ryan Caldwell

❝ Mais je suis peut être tombé de la lune, et je te le dis
si ce monde tourne rond, et si je trouve à l'injustice une bonne ❞


❝ YOU'RE IN MY VEINS AND I CANNOT GET YOU OUT ❞


► présentation Jackson Tumblr_leo6tp8xPg1qe7r0x Caldwell → C'est un nom qui fait frémir, qui impose le respect, c'est un nom intouchable et puissant. C'est le nom du chef de la mafia New Yorkaise. Tout le monde le sais, personne ne peut le prouver. C'est tout l'art de la chose. Les Caldwell sont une famille respectable en apparence, rarement présent, et riche, mais respectable et toujours poli en société. Ils sont ceux qu'on voudrait approcher mais qu'on n'ose pas. Bref il a un nom qui en impose et il le porte avec fierté, même si parfois c'est un peu difficile à porter. ❧ Jackson Ryan → Jackson blabla le nom de l'arrière grand père, grand homme, grand mafieux, criminelle de première classe, la fierté de la famille paternel. Génial. Il faudrait que les parents arrêtes de donner les prénoms des ancêtres. Mais tu me dirais il porte bien son nom, et il l'aime. Seulement au yeux de son père c'est une responsabilité de plus. Et Jackson n'est pas comme son père, pas comme son grand père, et il ne voudrait jamais faire ça toute sa vie. Ryan c'est un nom commun que ça mère lui a donner. Mais il y a plus de douceur dans ce nom. Peut être que c'est lui qui fait tout. Peut être que c'est Ryan qui fait que Jackson ne sera surement jamais le grand mafieux que son père veut lui voir devenir. ❧ 20 Mai 1985, 25 ans → C'est peut être l'une des seules choses que l'on peut croire de lui, ça carte d'identité, et encore... Rien ne dit qu'il ne l'a pas trafiqué. Mais bon monsieur à plus l'habitude de mentir effrontément que de jouer au faussaire.Et étend donné que la plus part du temps on le croit, il se fiche pas mal des papiers officiels. Mais dans beaucoup de ses imaginaires il est né au Mexique, à Rio de Janiero... Si vous percevez l'incongruité de la chose. Mais ce n'est pas tout, récemment il s'est rendu compte que le 20 Mai 1985 était né non pas un mais 2 Caldwell dans le même hôpital... Choquant surtout lorsque l'on sait que c'était le jumeaux de Jackson qui est mort né et dont ses parents on choisit de ne jamais parler. ❧ New York, Presbyterian Hospital. → Bien évidement Jackson ne pouvait pas naître ailleurs que dans l'un des meilleurs hôpitaux au monde. Mais finalement ce n'est pas plus mal. Car la grossesse compliqué de madame Caldwell avait largement endommagé les deux bébés, et à la naissance ce n'était pas beau à voir. Si Jackson est né dans un très mauvais état, son frère n'a pas pu survivre à ses poumons largement atrophié et est mort né. Surement que dans un hôpital moins bon que celui-ci Jackson aurait suivi de près son frère. Peut être cela aurait été préférable qui sait ? ❧ Amércaine → Avec Caldwell comme nom de famille vous vous attendiez à quoi ? Nous sommes américain pur souche, et patriote avec ça. Enfin patriote d'un genre étrange... Le genre qui détourne les fond, et réalise toute sorte de crime. Mais d'après mon père c'est un certain patriotisme, car sans risque de crime il n'y aurait personne qui voudrait sauver la patrie et donc patriotisme, donc en étant des mafieux on alimente le patriotisme... N'est-ce pas terriblement patriote ? Bref je suis l'Amérique dans toute sa splendeur, le self made man presque réussit. ❧ origine(s) → Je dirais américaine aussi, rien de bien originale mais que voulez vous, on ne peut pas tous se vanter d'avoir un oncle inouit ou une mère indienne. Je suis américain, et j'ai dans ma tête des milliers d'origine passionnante qui vous ferait baver de jalousie. Bien sûr dire que je descend des extra terrestre et que je suis le numéro 7 serait un peu prétention et pas crédible, mais j'en ai plein d'autre beaucoup plus plausible qui vous induirait largement en erreur. Mais aucune ne sera vraie selon la biologie et les papiers... Mais moi ce que j'en fais de la science et de la justice.... ❧ Fiancé et hétérosexuel → La je vous arrête tout de suite, éviter de sortir les félicitations d'usage, de dire, bah il est pas si pourrit que ça, il est amoureux et il va se marier. D'abord il n'y a vraiment pas intérêt à ce que je me mari, et deuxièmement encore moins avec cette femme. Laissez moi vous raconter une histoire, et une vraie pour une fois. Il était une fois, un papa mafieux, et un autre papa mafieux, qui gérait la très grande mafia New Yorkaise, et qui s'entendait très bien. En premier ils eurent tous les deux des fils, mais ensuite le second papa mafieux eu une charmante petite fille. C'est ainsi que les deux papas mafieux se sont dit, que si les deux petits se mariaient plus tard ça ne formerait qu'une seule famille mafieuse à la tête de tout l'empire New Yorkais. Fier de leur trouvaille et ne voulant pas jouer cet affaire au hasard de l'amour ils décidèrent de fiancer les deux enfants, et de les marier de force lorsqu'ils seraient en âge. Aujourd'hui papa mafieux de la fille est en prison et est prêt à être condamné à mort, et fille mafieuse déteste la mafia et son père mafieux et c'est enfui de New York avant d'y revenir il y a peu. C'est alors que ne voulant pas abandonner leur plan papa mafieux du garçon décida de mettre le plan a exécution, menaçant les deux partis au cas ou ça leur viendrait à l'idée de dire non. Et on en est là, au 21 ème siècle, avec un mariage forcé sur les bras, et une envie folle de s'en détacher, parce que figurer vous que le coté fiancé fait fuir certaine fille vertueuse, certaine fille qui pourrait vraiment m'intéresser. ❧ Mafieux → Enfin c'est un peu plus compliqué que ça. Déjà mes études... Car j'étais pas mauvais, et que ma mère m'a forcé à rentrer à Colombia. J'ai d'abords étudier la criminologie, parce que ça pouvait mettre fort utile, et puis que c'est intéressant, et on ne sait jamais, si ça se trouve un jour je voudrais passer du bon coté de la lois. Puis ensuite, parce que je n'ai pas pu m'en empêcher et que je me suis rendu compte que mon père ne s'intéressait absolument pas à mes études tant que je faisais bien le devoir que j'avais pour lui, et bien j'ai fait des études de théâtre, et ça c'est ma vraie petite passion. Alors aujourd'hui je fini ma licence en théâtre à Colombia, et je bosse officiellement en tant qu'acteur. Enfin officiellement pour tout le monde sauf pour mon père, parce que ça le fâcherait. Officieusement, et officiellement pour mon père, je suis un mafieux, un fils de mafieux, un dealer, et tout ce qu'il y a de plus illégale, et je suis plutôt doué dans ce que je fais, et qu'en je réfléchis pas à ce que je fais, ça me plait bien. La vous êtes en train de vous dire "merde, il est plus complexe que je ne le pensais, je peux pas le détester directement parce que c'est un connard, qui fait un boulot de connard... " Oui je sais, je n'ai pas pour habitude de faciliter la tâche au gens, et je sais que ça me retombera dessus. ❧ traits de caractère → Qualité : intelligent, protecteur, charismatique, rusé, indépendant, drôle, attachant, charmant et charmeur, dynamique, enjoué, volontaire. Défaut : connard, manipulateur, menteur, inconstant, faux, bavard, hypocrite, colérique, et violent, profiteur, fragile, troublé, malade... ❧ signe particuliers → Je suis le roi du monde de la manipulation et du mensonge, je perds n'importe quand, n'importe qui dans mon flot de parole inconstant. Je suis un mythomane psychotique, et parce que je ne suis pas capable de savoir si mes mensonges sont des mensonges ou la vérité, vous ne le saurez pas non plus. Heureusement, contrairement à vous, j'ai des moments de lucidité qui me permette de me remettre sur les rails. J'ai aussi un tatouage sur l'épaule, une encre entouré d'un serpent. Je suis un serpent qui m'attache à tout ce que je trouve et je vous envenime. N'allez pas chercher plus loin, je suis la peste de New York. Je suis le roi des faux. ❧ aime et déteste → J'aime les histoires, histoires inventés, histoires vraie, histoire de science fiction, policières, romantique (?), enfin bref toutes les histoire, c'est ma manière d'apprendre à contrôler ma mythomanie, je lis beaucoup, m'implante moi même les histoires que j'irais ressortir après inconsciemment, et avec un peu de chance je me rappellerais que c'est un bouquin que j'ai lu, ou un mixe de plusieurs. J'aime le thé glacée, et la téquila, j'aime les crocodiles en bonbon et en vrai, j'adore les serpents, mais franchement je ne m'en approcherais pas, j'aime plutôt l'idée des serpents. J'aime New York, et les pommes, la statue de la liberté, et les idées américaines. J'aime Obama et déteste les guerres. Je déteste la drogue, même si j'en vend, je déteste les tueurs à gage, les voleurs, je me fiche de l'injustice, j'adore mes proches et je ferais n'importe quoi pour eux, j'aime pas la nature, ça me fou le cafard, j'aime les buildings, et la société de consommation, je me déteste, déteste les naïfs et les illuminés, j'adore les réalistes et les cyniques... ❧


► présentation Jackson Tumblr_lk9y78c0hb1qc49r2o1_400particularités manies et autres → Je résiste très bien à la pression à la douleur, mais m'énerve particulièrement rapide, j'ai le sang chaud et c'est indéniable. Je parle beaucoup et tout le temps, sauf avec les personnes à qui je tiens vraiment, ou j'alterne monologue et grand silence. Je suis assez indécis et il ne faut pas me demander de faire de choix me concernant. Je suis partant pour tout, et lorsque je m'énerve je tourne la tête du coté de mon épaule gauche, celle ou il y a mon tatouage.



❝ EVERYTHING WILL CHANGE.
NOTHIN' STAYS THE SAME. ❞


  alt=depuis combien de temps habitez-vous à new-york ? → Depuis toujours et surement pour toujours. Je suis un inconditionnel de New York, c'est la ville que je maîtrise le mieux, une population qui pourrait presque me comprendre, des sons qui me sont familiers, une vie, des amis, et des ennemis aussi. Bref, New York c'est mon espace, ma respiration et mes battements de coeur. En faite si je devais me la jouer sentimental, et mec presque cool et sympathique je dirais que New York est et sera l'amour de ma vie. Peut être parce qu'elle est fait de pierre, de verre, de béton et de fer, et qu'elle ne me fera surement pas défaut. Peut être parce que je me sens en sécurité dans ses rues. Peut être parce que c'est en partie moi qui fait la peur du crime New Yorkais. Quoiqu'il en soit, cette ville est mon ombre, et rien de grave ne peut m'arriver tant que je vis ici. quel est le plus gros regret de votre vie ? → Carnet 6, page 20.
Récemment j'ai découvert l'existence de cousine. Enfin c'est ce que mes parents m'ont dit. Ils m'ont dit qu'elles étaient les filles de Jared Caldwell, le frère de mon père. Tout ça n'avait pas grand sens. Pourquoi n'aurais-je jamais entendu parler de son frère, ni de mes cousines, c'était ridicule. J'ai donc chercher à en savoir plus, à savoir la vérité. Parce que vous savez quand le mensonge fait votre vie, lorsque vous avez l'occasion de découvrir la vérité, vous sauter dessus. Il n'existe qu'un seul Jared Caldwell, et il est né et mort le 20 mai 1985 au Presbyterian Hospital à New York. Comme moi. Et non seulement ce "frère" de mon père était en réalité mon jumeau mort né dont je ne savais pas l'existence, mais ces deux "cousines" étaient en réalité mes deux petites soeurs écarté de mon père à leur naissance. Moi qui me suis toujours cru fils unique, moi qui est constamment sentit un vide monstrueux, qui provenait d'après moi de l'absence de mon père, et de mes rêves éveillés qui ne serait jamais vrai. Ce vide maintenant je peux le toucher. Ce vide s'appelle Jared Caldwell. Il s'appelle aussi Bonnie et Eden. Ce vide c'est ma famille dissimuler.

Je regrette amèrement de ne pas l'avoir connu, de ne pas les avoir connu, mais qu'aurais-je pu faire pour que ça se passe autrement? quel est le plus beau souvenir de votre vie ? → Carnet 1, page 1.
Le 4 Septembre 1990, Aujourd'hui papa m'emmène chez le docteur. Il dit que je ne suis pas normal, et qu'il va voir si il peut arranger ça. Honnêtement je me fiche de ne pas être normal, je vis bien, je respire et vis, maman dit que c'est l'essentiel, mais papa n'est pas d'accord. Lorsque j'entre chez le médecin. C'est une magnifique dame, grande, et jeune, les yeux presque violet qui tirent sur le bleu – jaune au soleil, les cheveux brun, presque noire, la peau pâle. Je reste là subjugué et me dis que si le prix à payer pour fréquenter une dame comme ça c'est de ne pas être normal, je serais le plus anormal des anormaux. Et sans savoir pourquoi je me met à raconter un tas d'histoire fabuleuse et fausse. Elle m'écoute en souriant puis fini par dire à mon père. « Votre fils souffre de mythomanie, il s'invente des choses et n'est pas capable de déceler lui même la vérité du faux. » Elle dit aussi que tout ça n'était pas grave, que tant que ça ne tournait pas à la psychose je vivrais très bien avec, seulement il faudrait que je travail avec elle, pour démêler le vraie du faux justement. Papa et maman écrivait tous les souvenirs qu'ils avaient de mes six premières années, et ceux que je vivais à chaque instant et tous les mois je passerais une heure ou plus avec le médecin pour confronter mon souvenir avec celui de mes parents pour écrire la version la plus plausible et proche de ce que j'avais vécu des choses. Parce qu'elle disait qu'avec le temps je pourrais plus raconter la vérité tellement elle serait ensevelit sous le mensonge. Quand je suis rentrée j'étais ravi, non seulement j'avais quelque chose de « pas grave » qui m'emmenait dans un monde magique, et éclatant, mais en plus je passerais du temps avec la plus belle femme du monde pour me guérir. Je n'avais aucun doute sur le fait que ça marcherait. que vous évoque le mot vivre et mourir ? → JMourir m'ennuierais. Je veux dire, je ne suis pas sûr de m'en rendre vraiment compte. Je suis un être psychotique et mythomane, je ne suis pas stupide, mais je pourrais confondre ma mort avec celle d' Achille et alors je me sentirais presque heureux et couvert de gloire. Pourtant je sais bien que je serais pas couvert de gloire, et peut être pas heureux. La vie est pour moi des milliers de conte de fée, on ne peut pas y croire, et pourtant on y croit quand même – parce qu'on est pas normal. Lorsque je joue je deviens le rôle, j'y crois vraiment, donc je le joue bien, je crois que je mets plus de temps à sortir d'un personnage qu'à y rentrer. On sait jamais tout pourrait être fiction. La vie, la mort et tout le reste. Je sais pas et je m'en fiche. Moi j'y crois, et je le vis. Que me faut-il de plus ? ❧



❝ THERE'S NO ENDING. JUST BEGENNING ❞


  alt=célébrité → Dave Annable ► présentation Jackson 3594359836pseudo et âge → Machou, 18 ans ❧ présence sur fny → 7/7 ❧ avez-vous pris un scénario ou un prédéfinis → Prédéfinis ❧ possédez-vous d'autres comptes sur le forum → Yaaaaap ❧ code du règlement → HAHAHA ❧ commentaires → Ca va gère grave, you are wonderful, ze vous aime ► présentation Jackson 3594359836
opening credits : → mise en page w/ staff fny → banner w/ nom du créateur → gif w/ nom du créateur

Revenir en haut Aller en bas
WELCOME TO NEW YORK
 TWISTED SUNSHINEThe bitch is back
Billy S. Anderson
Billy S. Anderson
TWISTED SUNSHINE
The bitch is back

SOMETHING TO SAY
❧ messages : 20
❧ pseudo : Twisted sunshine
❧ celebrity : Kirsten Bell
❧ copyright : © Avatar : Foolish Blondie ♠ Gif : LastBreath ♠ Signature : Wild Heart & Blackbird ♥

PIECES OF MY MEMORY

YOURE IN MY VEINS
❧ your deepest fear: Mostly myself. You can't imagine how dangerous i am...
❧ time of our lives :
❧ to do list :
► présentation Jackson Vide
MessageSujet: Re: ► présentation Jackson ► présentation Jackson EmptyMer 11 Mai 2011 - 20:04

❝ BECAUSE IT'S IN THEIR SMILES THAT
I REMEMBER MY FONDEST MEMORIES ❞


The begening of the end

❝ I'll there for you when the sky start to fall ❞





► présentation Jackson Bonnieeden ► présentation Jackson 33av51i

❝ I told you to be patient I told you to be fine I told you to be balanced I told you to be kind ❞

UNDERCO BABE.




► présentation Jackson IMGf
UNDERCO BABE

UNDERCO BABE



► présentation Jackson IMG
UNDERCO BABE


► présentation Jackson Joeyjl


Carnet 2, page 7,

Jade dit que je dois retenir tout mes amis, car quand on est aussi jeune que moi, et bien les amitiés vont et viennent alors que les souvenirs peuvent rester éternellement. Mais moi je vous assure que mes amis, je compte pas les laisser partir. Parce que pour être mon ami, il faut avoir du cran, de la pêche, de la classe, et du génie. Et je ne vois pas pourquoi je laisserais partir quelqu'un avec du cran, de la pêche, de la classe et du génie. Jade me fait remarqué qu'à 8 ans, j'ai encore tout le temps de changer, et c'est la même chose pour mes amis. Peut être que demain, ils n'auront plus autant de cran, de classe, de pêche, de génie, et que je voudrais plus d'eux, ou qu'ils ne voudront plus de moi. Mais du haut de mes huit ans, je suis sûr que Joey O'Connor restera toujours mon ami. Ou en tout cas que je voudrais toujours d'elle. D'abord parce qu'honnêtement vous en connaissez beaucoup des filles qui on du cran, de la pêche, de la classe et du génie ? Pas moi, je ne connais qu'elle. En sortant de primaire je l'attendais, en empruntant une position qui se veut ultra viril, appuyer contre le mur de l'école, un pied contre le mur, la main qui ébouriffe un peu mes cheveux pas très long. Je la vois sortir, je ne bouge pas, parce que je sais bien qu'elle va venir me voir. Elle a beau avoir un an de plus, être entouré d'une bonne bande de fille, je sais qu'elle viendra voir le pecno que je suis. Alors sweet heart, ta journée ? dis-je avec la voix la plus grave que je peux faire avec mes cordes vocal d'un gamin de huit ans. Pas aussi viril que Sean Connery dans James Bond mais ça fera l'affaire. Joey me regarde en secouant la tête le sourire aux lèvres. Moue qui veut dire chez elle " qu'est ce qu'il est drôle ce crétin". Je te propose une glace dans mon humble demeure, une partie de crash task et un tour sur les toits de Manhattan, ça te tente ? Crash task était un jeu de notre invention. Ca avait commencer lorsque nous nous étions rencontré. Elle m'avait posé une question étrange qui m'avait cloué le bec, et tout ce que j'avais répondu c'était Crash. Depuis on prend un malin plaisir à faire des listes de question qui feront crash et lorsqu'on a finit on va en bas de chez moi, ou de chez elle, et on pose les questions aux passant qu'on rencontre. Et soyons honnête c'est de loin le jeu le plus drôle auxquels je n'ai jamais jouer. On aurait aimé avoir une caméra pour filmer la réaction des règles. Et on rigolait en se demandait s'ils avaient été plus choqué par la question ou parce que deux gamins leur avait demander entre autre s'il n'avait pas de maîtresse. Tu sais parler au fille Jack... dit elle en souriant. Je souris et l'embrassa sur la joue en répondant Aux filles ? Non seulement à Joey... On était donc rentrer dans ma magnifique maison à Manhattan, je lui avais offert comme promis une glace vanille noix de pécan, la seule qui étant dans mon congélateur en faite. Et puis on était aller jouer. Même rituel qu'à chaque fois. Même blague miteuse, et même réaction outrée, étonnée, choquée, des gens qui venait de se faire crasher. On avait finit par monter sur le toit de l'immeuble, qui nous donnait une vue imprenable sur Manhattan et sur New York. Et c'était notre moment de ce dire qu'on avait vraiment de la chance. Tu sais un jour je pense qu'on trouvera un toit qui sera si haut qu'on pourra voir au moins la moitié de la planète. avais-je dit tout sourire à Joey. Elle m'avait répondu en souriant Ca arrivera seulement dans ta tête, dans la mienne peut être aussi. Je l'avais regarder avec mon air mystérieux de garçon de huit ans qui veut se la jouer. Air que je faisais particulièrement bien. Et j'avais répondu Ah non, dans ma tête je peux déjà voir le monde entier. Tu veux voir ? Presque intriguée; car oui Joey ne se laisse pas intriguer; elle hocha de la tête, et je collais mon front contre le sien comme pour lui diffuser les images que j'avais dans la tête. Pour toi j'aurais toujours la tête pleine de rêve. Peut être est-ce pour ça que notre amitié était si belle. Parce qu'elle était révée.




► présentation Jackson Tumblr_lk9xrzfSX51qc49r2o1_400
Carnet 5, Adolescence, Extraits,

« Le 22 Juin 1999,

Aujourd'hui, remise des diplômes. Pas pour moi, je n'ai pas encore l'âge. Si tout ce passe bien. Si je ne fais pas le con. Ca sera mon tour l'année prochaine. Tout devrait bien ce passer à ce niveau là. Non aujourd'hui c'est la remise de diplôme de Joey. Je suis resté debout en fond de salle. Parce que quelque chose cloche chez moi, et que je m'apprête à faire quelque chose d'odieux. Quelque chose que je suppose que je n'ai pas vraiment le cran de faire. Elle est là sur le podium, robe bleu, chapeau de diplômé, splendide. Je souris en la regardant. Elle me rend dingue, elle me rend fort, elle me rend faible. Et je vais la détruire. On est ensemble depuis un peu plus de six mois. J'ai toujours pensé que ça serait bizarre. Nous deux. Parce qu'on est trop proche. Et pourtant. Elle est une véritable sculptrice. Et je suis un peu sa terre glaise. Elle aurait fait des merveilles si je l'avais laissé faire. Quel con. Joey, majeur de sa promo - qui aurait pu en douter ? - se lève pour commencer son discours. Il y a une marée dans les affaires des hommes. Prise dans son flux, elle porte au succès. Mais si l’on manque sa chance, le grand voyage de la vie s’échoue misérablement sur le sable. Or, aujourd’hui, nous sommes à marée haute. Prenons le flot tant qu’il est favorable ou tout ce que l’on a risqué sera perdu. On finit une étape, on tourne une page, la vie nous sourit. On est tous appeler à faire de grande chose, tout du moins si on accepte d'écouter l'appel. Ne soyez pas nostalgique. Ne pensez pas "nos plus belles années sont passés, tout sera décadence" Nos plus belles années seront toujours à venir. Tant que nous serons là, souriant, la vie nous sourira. Ne pleurez pas votre passé car il s’est enfui à jamais. Ne craignez pas votre avenir car il n’existe pas encore. Vivez votre présent et rendez le magnifique pour vous en souvenir à jamais. Je fis une grimace. Parce que je me rendais compte de ce que j'allais faire. Lui ternir son passé, et lui donner une raison de pleurer dessus. Lui éteindre une parti de son avenir, mais le pire de tout, lui flinguer son présent. Quel con ! J'aurais bien dit vaut mieux aujourd'hui que plus tard, dans de pire circonstance. Mais pour ce genre de chose, il n'y a pas de bon moment. Je me dirige vers la sortie. Vers ses affaires que je reconnais bien, je glisse une lettre. Je vous l'avais dit, je ne serais pas capable de le faire moi même. Elle m'aurait fait renoncer. Vaut mieux que un intermédiaire s'en charge, le temps que je reprenne contenance. Je m'enfui. C'est le mot. Mais je reste là, parce que je veux voir. Je veux me rassurer, et me dire que je n'étais pas aussi important que ça. Et que ça ira pour elle. Je suis un crétin de toute façon. Elle survivra, elle est forte. Elle s'approche. Me cherche du regard. Trouve la lettre. Fait ce froncement de sourcil si sexy, mais qui ici n'annonce rien de bon. Elle ouvre la lettre, et lit. « Petite fille aux grand yeux bleus, ange qui aura illuminé ma vie d'une façon qu'elle n'imagine pas, Joey ce rayon de soleil présent sur terre. Tu sais, je ne t'oublierais jamais » je vois ces yeux qui s'emplissent de larmes au fur à mesure. « Tu aurais fait des merveilles avec moi. Plus que tu n'en as déjà fait. Mais je n'ai jamais fait de merveilles avec toi. Je me rend compte que tu ne seras surement pas en capacité de comprendre, que tu me jugeras lâche, affreux, indélicat. Et que tu ne me croiras probablement pas. Je te promet, j'ai mis ma mythomanie de coté. Pour t'ouvrir mon coeur, te rendre le tien. Je suis un piètre amant. Je t'aurais détruit un jour ou un autre. Je ne suis pas bon pour toi. Et je ne peux plus accepter le fait que tu sois bonne pour moi. Je te rend le tien, avant de l'avoir broyer. Prend en soin, de ce coeur que j'aime plus que tout. À mon avis, les tragédies ça fait partie de la vie, on va pas baisser les bras parce qu’on est malheureux. Je me suis rendu compte d’une chose, quand on vous brise le cœur, il faut se battre de toutes ses forces et s’accrocher à la vie, parce qu’elle continue quoiqu’il arrive et cette douleur qui vous déchire fait partie de la vie aussi tout comme la peur et le mal être. Toutes ces sensations qui sont là pour nous rappeler que les choses s’arrangeront, ça vaut le coup de continuer à se battre. Je serais peut être ta tragédie, mais tu en seras que plus forte. Je t'aime Joey, mais c'est cruel de te le dire. » En colère, triste, je l'a vis grimper dans sa voiture. Je la suivis; Elle s'arrêta chez moi, et frappa à tout rompre contre la porte d'entré. Je ferme mon visage, prend ma respiration. Elle avait raison, je serais un excellent acteur, c'est le moment de le prouver. Tu vas casser la porte ... Elle se retourna en sursautant. Je lui avait fait mal, je le voyais bien. Je lui aurais bien dit que j'étais désolée, que j'avais divagué, que je mettais trompé, mais non je garde mon calme, pendant qu'elle me jette ma lettre à la figure. C'est quoi cette merde Jack ? Tu sais exactement de quoi il s'agit c'est fini Joey. A cet instant précis, je me serais bien effondré sur moi même. Mais contre toute attente je m'en sorti bien. Le mensonge sorti plus vrai que nature. Peut être parce que ma mythomanie n'y était pour rien, et que c'était du jeu pur. Ce n'était pas Jackson, juste moi jouant le rôle d'un mec qui n'aime plus sa copine, et qui s'en fiche. Tu te fous de moi ? Tu fou en l'air tout sa en un claquement de doigts ? Mais pour qui tu te prends Jack pour faire croire à une pauvre fille comme moi que l'amour existe pour ensuite le lui reprendre ? Un crétin c'est sûr. Le mieux à faire était encore de se taire. Sinon le jeu se craquelerait. Elle avait beau être chez moi, je tournais les talons pour la laisser seul avec son désespoir. Elle me crierait dessus, pour avoir des explications, je n'écouterais pas. Je rejoindrais ma voiture sourd à ses plaintes. Là bas, loin d'elle, je pourrais souffrir, et penser à ce que j'ai perdu. »

UNDERCO BABE





Dernière édition par Billy S. Anderson le Sam 7 Jan 2012 - 10:07, édité 8 fois
Revenir en haut Aller en bas
WELCOME TO NEW YORK
Jackson R. Caldwell
Jackson R. Caldwell
NEW YORK CITY ➷
CAN YOU KEEP IT A SECRET ?

SOMETHING TO SAY
❧ messages : 2
❧ pseudo : Twisted sunshine
❧ celebrity : Dave Annable
❧ copyright : (c) pseudo : Machou ♠ avatar : Mymz ♠ gif : Sassy

PIECES OF MY MEMORY

YOURE IN MY VEINS
❧ your deepest fear: Death, can't do anything for helping the people i love.
❧ time of our lives :
❧ to do list :
► présentation Jackson Vide
MessageSujet: Re: ► présentation Jackson ► présentation Jackson EmptySam 13 Aoû 2011 - 14:02



► présentation Jackson Tumblr_ljvhi34P9E1qa7w9wo1_500


❝ I told you to be patient I told you to be fine I told you to be balanced I told you to be kind ❞

Carnet 5, Adolescence, Extraits,

« Le 31 Décembre 1999,

A cet période là de l'année je connais un pic de fréquentation. Parce que je commence à être un peu connu, un peu respecté dans le milieu, et que les fêtes de Noël, les fêtes de fin d'année donne envie de se la coller, de planer, et d'oublier. Oublier notre famille fumeuse et destructive, oublier notre année pourri, et celle qui va suivre et qui sera encore pire, oublier qu'on vit, dans la joie et la bonne humeur, dans l'euphorie d'un rail de coke. Ca fait superficiel, mais vous serez étonner de voir combien de gens pense ce que je pense, vous seriez étonner de voir à quel point je vent bien à cet période. Mais vous ne seriez pas étonner de voir à quel point je suis devenu un con, un abruti de première, une loque humaine. Ca fait cinq mois et neuf jours que je l'ai laissé tomber, que je suis passé en terminal, et que je ne la vois plus. Cinq mois et neuf jours que mon oxygène se périme dans ma gorge, sans faire de niaiserie. Je n'avais jamais eu à vivre sans elle. Joey était toujours là, dans ma tête, dans ma vie, dans mon coeur. Et je n'avais jamais eu l'occasion de me rendre compte à quel point l'avoir dans ma vie était plus important que le reste. Je suis entré au groupe de théâtre du lycée. Parce que c'est elle qui avait dit que j'étais fait pour être acteur. C'était jouissif, c'était douloureux, de se rendre compte à quel point elle avait eu raison, mais qu'elle ne pouvait pas le voir. J'excellais dans tous les registres, j'étais drôle, triste, effrayant, tragique, on m'aimait, me haïssait. J'étais tout, tant que j'étais loin de moi. « Adieu, Camille, retourne à ton couvent, et lorsqu'on te fera de ces récits hideux qui t'ont empoisonnée, réponds ce que je vais te dire : Tous les hommes sont menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueilleux et lâches, méprisables et sensuels ; toutes les femmes sont perfides, artificieuses, vaniteuses, curieuses et dépravées ; le monde n'est qu'un égout sans fond où les phoques les plus informes rampent et se tordent sur des montagnes de fange ; mais il y a au monde une chose sainte et sublime, c'est l'union de deux de ces êtres si imparfaits et si affreux. On est souvent trompé en amour, souvent blessé et souvent malheureux ; mais on aime, et quand on est sur le bord de sa tombe, on se retourne pour regarder en arrière ; et on se dit : J'ai souffert souvent, je me suis trompé quelquefois, mais j'ai aimé. C'est moi qui ai vécu, et non pas un être factice créé par mon orgueil et mon ennui. » Cet phrase que je jouais si bien, qui me prenait aux tripes, et faisait toute ma respiration, me convenait parfaitement. Je suis cet homme. Peut être Joey est cette femme, mais j'y crois difficilement. Et surtout je ne pense pas que l'union peut arriver à quelque chose de bon; Finalement la seule chose avec laquelle je sois d'accord c'est que moi, homme, je suis menteur, inconstant, faux, bavards, hypocrites, orgueilleux, lâche, méprisable et sensuel. Mais quand je dis cette phrase tout résonne. Tout bas à tout rompre, et je suis capable de faire frissonner les spectateurs. On voudrait pouvoir tomber dans mes bras et voir ce que ça pourrait donner. Seulement je sors de scène. Et je retombe dans la réalité, les poches pleines de stupéfiant, le regard un peu vide, l'ennui plein les bottes, la conneries plein la tête. Bordel sans elle je suis vide. »




► présentation Jackson Tumblr_lju0zpDi901qd6k8fo1_500
Carnet 5, Adolescence, dernière page,

« Le 15 Juin 2000,

Objectivement il fallait bien que ça m'arrive un jour. Vous savez le diplôme de fin d'étude, le chapeau bleu, le discours du major de promo, qui bien sûr n'était pas moi, tout de même, pas de miracle en ce bas monde. Enfin pour quelqu'un comme moi on ne pouvait pas dire que les études étaient ce qui importaient vraiment. Je crois que c'est même un petit miracle que je passe mon diplôme sans encombre. C'est un miracle que je ne me sois pas fait virer de mon lycée en cours d'année, et c'et un miracle que je me retrouve avec ce chapeau bleu comme Joey la fait un an avant moi. Je crois que s'ils ne m'ont pas virer, c'est parce que je rendais le groupe de théâtre plutôt populaire, et que notre pièce à attirer pas mal de gens bien placer, et à ramasser pas mal de fond pour l'école. Autrement j'étais fait comme un ras. J'ai du mal à voir net aujourd'hui. Parce que je mets à point sur toutes mes années d'enfance et d'adolescence en une fois. Que je dois ranger le passé au placard, et que je dois tirer un trait définitif sur ma relation avec Joey. Je m'étais dit après l'année dernière que je faisais ce qu'il y avait de mieux, et que peut être si j'arrivais à m'en sortir et bien je pourrais revenir la chercher. Mais pour dire la vérité, elle a l'air bien sans moi, et je ne me suis pas arrangé. Je suis un as lorsqu'il s'agit d'être un con, et je m'en sors plutôt bien dans le boulot que me donne mon père. J'ai toute une clientèle à l'école, qui ne sait ni mon nom, ni quoique ce soit de moi, mais qui me paye de manière régulière et à qui je fournis de manière tout aussi régulière. Enfin si pour tout le monde le fournisseur préférer de l'école c'est REC. La touche rembobinez si vous voulez, et si on fait attention au lettre de début et de fin c'est aussi Ryan Caldwell, un peu moi en quelque sorte. Ce que je leur procure leur permet de se rembobinez pendant quelques temps, et de repartir de plus belle. »

Carnet 6, CU, Extraits,

« Le 15 Juin 2001,

Ca va faire deux ans maintenant. Je suis quelqu'un de bien, je n'ai pas calculer les heures... Mais ça va faire deux ans. Joey a parfaitement réussit sa première année de médecine. Sa deuxième aussi d'ailleurs, mais qui en doutait ? Je m'étonne moi même. J'ai tenté l'expérience universitaire. Et je n'ai pas recroiser ma belle Joey. Alors qu'en étant presque sur le même campus j'aurais pu facilement être tenté d'aller lui faire une surprise. Enfin, en soit je l'ai fais, mais disons que je me suis maintenue à l'écart. Parce que c'était mieux pour elle. Et probablement pour moi aussi. Enfin surtout pour elle. Quand on mon expérience universitaire, je n'arrive pas à comprendre pourquoi je me suis montré réticent. Après tout l'université c'est le royaume de débauche des jeunes, ou en plus il n'y a que des gens qui peuvent se permettre de payer. Ce qui m'évite clairement de faire le sale boulot de recouvreur de font, qui m'agace énormément. Depuis que je suis à l'université REC c'est fait une clientèle encore plus aisé, et encore plus demandeuse. J'ai même diversifié mes ventes, entre les pilules qui permettent de diminuer le stresse, enfin de te faire planer, les pilules qui te permettent de tenir éveillé plus longtemps... Celle qui te permette de t'amuser sans t'abîmer la mémoire, bon celle-là est bidon, mais c'est exactement ce qu'ils ont besoin d'entendre. C'est maman qui m'a poussé à y rentrer. Vous savez, ma mère désaxée, qui plane, mais qui est une vraie petite sainte avec l'extérieur. A la maison elle est seulement pas là. Mais elle s'est dit, que ça ferait bien d'avoir un enfant à l'université, plutôt que de le voir trainer n'importe ou. Alors pour faire bien je suis rentré à l'université. Et pour une fois je dois lui dire merci. Mon père voulait que j'aille en criminologie, que j'apprenne quelque chose d'intéressant et d'utile pour le métier. Mais soyons honnête à part la débrouille, le sang froid, et le coeur de pierre, je ne vois pas vraiment ce qui peut être utile. Lui ne le sait pas encore, mais moi je le sais, dans la mafia, c'est Joey qui me perdra. J'ai donc intégré l'université, dans le domaine que je maîtrisais le mieux. Les arts dramatiques. L'avantage c'est que les artistes sont presque des plus gros drogués que les autres. Soit pour tenir la pression, mais c'est comme pour tous les étudiants, ou alors juste pour être cool, pour diminuer le trac, et pour x ou y raison que je n'essaye même pas de percer, sinon je serais aller en psychologie. Et ça m'aurait probablement intéressé. Mais non, je suis étudiant en art dramatique, et j'ai plutôt la cote. D'ailleurs pour vous le prouvez, voici mon nom de scène. JC. Rien que ça. »




► présentation Jackson Tumblr_ltkg1sJp3F1qhx74io3_250
Carnet 6, CU, Extraits,

« Le 15 Juin 2005,

Avez vous une petite idée de ce que ça peut faire d'être gradué de l'université ? Ce n'est pas vraiment la même chose que d'être gradué du lycée. Ca signifie que vous êtes dans l'élite intelligente des Etats Unis, et probablement du monde. Ca signifie qu'on vous a fait couver encore quatre ou cinq ans de plus, et que maintenant on vous jette à l'eau, parce que dans la théorie, vous savez vous débrouiller. N'allez pas croire que j'ai peur du monde. Je suis plutôt dans la catégorie, fait peur au monde. Mais je dois avouer que j'appréhende pas mal se retour à la vie réel. Parce que les gens ont une vie active assez étrange, et tant que j'étais couvé par l'états et les études j'étais à l'abris de beaucoup de chose. Maintenant il va falloir choisir un camp. Se plonger corps et âme dans une mafia trop accueillante. Etre le plus beau des connards. Le diable en personne. Ou m'amuser sur les planches d'un théâtre, être le roi des bouffons, le grand acteur de mon siècle. Faire les deux. Se perdre soit même. Refaire tout ces clients. Entrer dans l'engrenage destructif de la vie. Se marier un jour, éventuellement, parce que je n'aurais plus le choix. Regretter ses vieilles décisions. Je hais le monde des adultes. Je hais la réalité. »








Dernière édition par Jackson R. Caldwell le Jeu 22 Déc 2011 - 10:09, édité 4 fois
Revenir en haut Aller en bas
WELCOME TO NEW YORK
Jackson R. Caldwell
Jackson R. Caldwell
NEW YORK CITY ➷
CAN YOU KEEP IT A SECRET ?

SOMETHING TO SAY
❧ messages : 2
❧ pseudo : Twisted sunshine
❧ celebrity : Dave Annable
❧ copyright : (c) pseudo : Machou ♠ avatar : Mymz ♠ gif : Sassy

PIECES OF MY MEMORY

YOURE IN MY VEINS
❧ your deepest fear: Death, can't do anything for helping the people i love.
❧ time of our lives :
❧ to do list :
► présentation Jackson Vide
MessageSujet: Re: ► présentation Jackson ► présentation Jackson EmptySam 13 Aoû 2011 - 14:03



► présentation Jackson Tumblr_llgabebSXQ1qbqvc2o1_500


❝ I told you to be patient I told you to be fine I told you to be balanced I told you to be kind ❞

Carnet 7,Vide, Extraits,

« Le 11 Novembre 2009,

Aujourd'hui je sais ou je dois aller. Comme tous les jours. J'ai rendez vous à neuf heures avec un client de mon père. Un macro comme il l'appelle. Il a une affaire à me proposer. Il faut aussi que je passe chez le teinturier lui faire une nouvelle formule - je déteste ces gens qui veulent se lancer dans le marché illégal, ils ne savent pas dans quoi ils mettent les pieds, et c'est toujours à nous d'assurer leur arrière. A onze heures j'ai le nouveau protégé de mon père à former - un petit con amateur de sensation forte, je lui donne même pas six mois avant qu'il se fasse pincer. Midi, déjeuné avec Evan, il doit me parler de quelque chose à propos de son paternel - je comprend pas pourquoi il ne se réjouit pas de la situation, il est libre maintenant, peut être est-il meilleur que moi finalement. Seize heures, un enterrement auxquels j'assisterais de loin. Du haut de la colline, à plusieurs mètre du cortège, et du minuscule cercueil. C'est tellement injuste. Je la vois soutenir sa soeur, alors qu'elle même voudrait s'effondrer. Si tout c'était bien passé, je serais un roc, et elle aurait pu s'appuyer sur moi, sa soeur aussi peut être. Mais aujourd'hui elle est condamnée à faire semblant d'aller bien. Elle tient se rôle admirablement bien. Elle est forte douée aussi. Son copain à l'air d'être un con de médecin arrogant, ou alors c'est juste que je veux pas l'aimer. Je crois que je devrais être heureux qu'elle se soit trouver quelqu'un. Après tout, ça fera bientôt dix ans. Il serait temps que je décroche. J’étais prêt à tourner la page mais c’est la page qui ne veut pas se tourner. Je crois que je m'en veux. Peut être que j'arrive à l'infecter encore avec mon mauvais Karma. Peut être qu'il faudrait que j'arrête. Que j'arrête de venir sans cesse vérifié que les dégâts que j'ai fait sur elle ne sont pas irréversible. Que dans tous les cas il serait trop tard pour changer quoique ce soit. Je ne sais plus bien si je viens la voir pour me donner bonne conscience, et jouer à l'ange gardien. Ou seulement parce que je ne peux pas me la sortir de la tête, qu'elle me manque atrocement et que je voudrais pouvoir être à ces cotés, pour l'aider. Je suis d'un ridicule. Il faut vraiment que je décroche, pour son propre bien, je suis sûr que même de loin je peux encore l'empoisonner. En tout cas je ne prendrais pas le risque. »



► présentation Jackson Tumblr_lmck60JiuJ1qe7r0x
Carnet 8,Vide, Extraits,

« Le 20 Septembre 2010,

Je déteste mon paternel et sa manière de m'enfermer. Je déteste le con qu'il a fait de moi, et mon incapacité à lui tenir tête. Je me déteste presque de le détester. Bref, je ne suis qu'un gosse perdu sans lui, mais qui rêve de s'en débarrasser. En plus on sait tous que ça ne serait pas très compliqué, éloigner un parrain de la mafia... Ou pas justement. Ce matin je me réveille dans la grande maison familiale. Hideuse, surchargé de mauvais goût, de photographie montrant toutes les récompenses que mes parents ont eu pour leur bonne conduite. Bref des moments de mythomanie un peu partout dans la maison, alors qu'on sait bien que je suis le seul dérangé ici. Habituellement je dors chez moi, je préfère la sobriété d'une pièce blanche à cette amas de mensonge. Mais diner familiale obligeant j'étais revenu au pays, et comme d'habitude le vin m'aidant à supporter la situation, les parents m'avaient confisqués les clés de la voiture à mon arrivé. Je soupçonnais aussi mon père d'avoir une mauvaise nouvelle à me dire. Une nouvelle qu'il ne voudrait pas balancer au dîner, et pour laquelle il n'hésiterait pas à me séquestrer pour la nuit. Depuis qu'Othello, son big bro de la mafia avait été arrêté les affaires allait mal, les gens avaient peur que ça tourne au vinaigre et que quelqu'un ne cherche à remplacer ce futur mort à la tête de la mafia. Je sentais que quelque chose allait mal, mais je préférait fermer les yeux. Si quelque chose tournait mal, et que tout s'effondrait, une chose est sûr, je ne ferais pas comme Evan, je ne serais pas là pour voir l'empire s'effondrer. Bien sûr mon père m'attrapa avant même le petit déjeuné et m'enferma dans son bureau. Officiellement je l'avais suivi de mon plein gré à sa demande polie. Officieusement, je n'étais pas en mesure de discuter aucune décision de mon père, et chacune de ces demandes étaient des ordres. « Jackson j'ai trouvé un moyen d'arranger tout nos problèmes.» Là je suis sensé sauter de joie, dire merci mon Dieu pour ce père si brillant. Mais lorsqu'il arrive ce genre de chose, en général ça ne présage rien de bon pour moi. Allez savoir pourquoi il pense que je suis une ressource sans nom de bonne solution à mes dépends. Un jour j'y laisserais jusqu'à mon caleçon c'est sûr. « Même avec Othello en prison nous devons montrer un front unis...» J'aurais plutôt penser qu'on devrait se détacher de lui, histoire de pas faire de vague et de dire salut nous aussi nous faisons parti de la mafia, venez nous chercher... Mais franchement qu'avait-il en tête ? Je fronçais les sourcils. « Cette idée nous trotte dans la tête depuis un petit moment... Et aujourd'hui c'est le bon moment pour le mettre en place. Surtout que Jade n'est pas vraiment proche de son père.» Jade ? Qu'est ce qu'elle vient faire ici, celle là ? C'était un euphémisme de dire qu'elle n'était pas proche de son père. Elle ne pouvait pas supporter le coté d'ombre de sa famille, et s'était casser de là vite fait. Elle avait eu raison d'ailleurs. Mais là n'était pas la question, ou voulait-il en venir. « Je vois pas ou vous voulez en venir père. » Il fit un sourire dont lui seul connaissait le secret, un sourire absolument terrifiant qui m'indiquait clairement que de toute façon je n'avais pas le choix. «Nous avons penser que la meilleur chose à faire était de vous marier Jade et toi.» Je ne pu retenir un rire et me récoltait immédiatement une gifle. Pas de faut pas j'avais oublier. Je le regardais maintenant avec des yeux parfaitement horrifié. Il n'était pas sérieux. Là on allait bien plus loin que de donner mon caleçon. En plus comment pouvait-il penser que ça puisse marcher, son père et son frère n'avait aucune prise sur Jade, et il était absolument hors de question qu'il lui fasse la cours. « Au 21ème siècle les mariages arrangés n'arrangent plus rien père.» Je vis un regard noir s'écraser sur ma figure, il valait mieux que j'arrête l'insubordination immédiatement, j'oubliais bien sûr que la mafia fonctionnait encore comme une monarchie absolu. Et si on était pas content il fallait s'attendre à entendre crier qu'on lui coupe la tête. Je serrais les dents devant le calme horrible de mon père, et fit une révérence de désapprobation. Une politesse qu'il n'apprécia pas il me donna une seconde gifle bien plus puissante que la première qui me décolla presque la mâchoire. Je le regardais dent serré, les yeux qui commençait à s'emplir de larme, me promettant que moi vivant, jamais je m'approcherais de cette fille. »




Aujourd'hui Jackson jouait au Barrow Street Theater. On en était pas encore au grand art, ni au grande salle de Broadway, mais il fallait avouer qu'il s'en rapprochait doucement. Il remplissait aisément la salle, et était brillant dans la plus part de ses rôles. Chaque rôle était un bout de merveille de sa mythomanie, et il en était plus vrai que nature. Aujourd'hui il jouait surement l'une des pièces qui allait le montrer au devant de la scène. Rien à voir avec les petites pièces de boulevard, ou même des grands classiques. La pièce était faite sur mesure à son talent. On voulait qu'elle parle de lui, qu'elle le laisse exploser dans toute sa splendeur et sa complexité. Difficile lorsque tu ne peux pas révélé la moitié de ta vie. Mais finalement légèrement facile lorsque tu mens comme tu respire depuis que tu sais parler. Tout ce jouait sur sa mythomanie précoce, sur son coté psychotique attachant, sur son talent, et sur son humour. Dans les coulisses Jackson stressait, une tasse de café devant lui, il battait rapidement du pied sur le sol. En soit il le savait, tout allait bien se passer. Pas de risque qu'il oublie son texte, il était presque le texte. Il se demandait seulement si c'était possible. Si c'était possible que Joey soit là. Qu'elle est vu une affiche, qu'elle est voulu voir par elle même. Qu'elle est voulu voir qu'il y était arrivé. Que grâce à elle, il était devenu quelqu'un. Derrière l'ombre de son père, il était devenu quelqu'un. Mais soyons honnête, Joey avait tirer un trait sur lui à la seconde ou il avait rompu. Il n'y avait qu'un gamin psychotique pour entretenir une relation avec un fantôme, pour rester à ses cotés même lorsqu'elle est loin, pour vérifié que tout va bien, et massacrer ceux qui agissent mal. Il n'y avait vraiment qu'un mec tordu comme lui pour faire ce genre de chose. Jackson ferma les yeux et avala sa tasse de café cul sec avant de se lever et de rejoindre la scène. « Je ne suis qu'un zigoto. Je suis né au Mexique, à Rio de Janeiro... » et le spectacle pouvait commencer.




► présentation Jackson Tumblr_lmck87g35j1qe7r0x
Et voici ce que vous avez manquer dans la semaine. Hier au Barrow Street Theater la première d'un spectacle inédit. On l'avait vu dans plusieurs pièce. Triste à en pleurer, drôle à en mourir, colérique au possible, il devait savoir tout faire. J.C. comme il aime se faire appeler sans aucune prétention est un drôle de personnage qui hier s'est montrer en entier sur scène. Emouvant et drôle, terrifiant et touchant il se dévoile devant un public charmé. Mythomane psychotique venu d'une famille un peu étrange ça ne l'empêche pas d'avoir réussit son coup. Pas d'apitoiement sur son sort, il te sort des mensonges plus gros que nature, et t'installe entre deux chaises, entre réalité et imaginaire, entre rire et larme, rire et peur. Avec J.C. on ne sait pas à quoi s'attendre, on ne décèle plus la réalité de faux et on choisit dans rire. C'est sans doute sans compté les quelques piqures de rappelle terrifiante et qui te rappelle à la pièce ou l'acteur semble perdre pied, comme pris dans une transe ou secoué d'une douleur insupportable. Et puis il repart de plus belle laissant le public tremblant. Définitivement un spectacle pour ceux qui s'ennuie dans leur vie bien ranger, pour ceux qui aime les vérités dérangeante et les histoires abracadabrante, pour ceux qui aime le jeu juste et impitoyable des acteurs, pour tout ceux qui veulent ressentir une foule d'émotion en une soirée, et enfin pour tout ceux qui ne connaisse pas encore la petite légende que pourrait devenir J.C. Félicity Jane pour The NewYorker.

Carnet 8,Vide, Extraits,

« Le 15 Juin 2011,

Ridicule. Hier je faisais surement le show de ma vie. Peut être que je n'en aurais pas d'aussi réussit, et pour tout souvenir j'ai ce petit article de journal élogieux et bien écrit mais qui ne me rendra pas ma performance. Bien sûr je le ferais d'autre fois, mais rien est pareil à une première. Je me souviens de mon entrée sur scène, de mon trac indéfinissable et de ma douleur. Plus je prenait possession du rôle plus je m'enfonçais dans une douleur profonde et incendiaire. Je ne me souviens de rien mis à part cette douleur, après ce fut le blackout. On m'a réveiller ce matin à l'hôpital, et je me suis enfui. Je déteste l'hôpital, particulièrement celui ou travail Joey, ce n'est pas tellement le moment de lui rentrer dedans sans y être préparé. En plus je ne veux pas qu'on soit au courant. L'acteur J.C. s'effondre à sa sortie de scène après un triomphe Je vois déjà les gros titres. Et je n'ai pas envie qu'on parle de moi. Je ne sais pas ce qui m'arrive. Je déraille complètement. Je suis cassé.»



Dernier carnet en date, dernière page écrite.

Cette nuit, je n'ai pas dormi. J'étais mal, angoissé, et saoul. Je ne pouvais pas dormir. Et je ne me serais de toute façon pas autorisé à dormir. Je suis malade. J'en suis sûr. Tout va trop vite dans ma tête, je ne suis plus le court de mes pensées, et mes attaques de mythomanie se solde par des trous noir, et des spasmes. Je suis complètement déphasé, et complètement malade. Mais ce n'est pas vraiment ce qui m'a empêcher de dormir. Ca fait un bail que je vis avec cette folie dans ma tête, ça fait un certain temps que je débloque, et je n'ai jamais eu de problème de sommeil au grand damn des gens qui voudrait croire qu'il y a du bon et du remord en moi, dessous ces dehors de gros con. Non, ce qui m'a empêcher de dormir c'est cette connerie de docteur. Parce que ça va trop loin, et que ma mythomanie ne peut pas être la cause de mes trous noirs, ce n'est pas possible. Et que je devais en avoir le coeur net, et tout faire pour faire bouger les choses, parce que je n'en peux plus. Le véritable problème, c'est que je ne connais qu'un seul médecin suffisamment doué et m'ayant fait suffisamment confiance pour me traiter correctement et parvenir à fixé mon cerveau. Parfois, je me dis que c'est un peu grâce à moi si elle a été aussi loin, et qu'elle est aujourd'hui la seule personne qui pourrait m'aider. Si je n'avais pas été autant un gros con, peut être que je l'aurais entrainer vers le fond. Seulement voilà, j'ai été un véritable con, et crétin sans nom, et elle doit me haïr, ou alors j'ai vraiment raté mon coup, parce que j'ai tout fait pour. Et que la ramener dans ma vie est surement la pire connerie que je puisse faire, pour moi, pour elle. Alors j'ai pas dormi.

Huit heures trente. Bon aller respire, et vas-y. De toute façon c'est mieux pour toi, et depuis quand tu te soucis des autres ? Ce convaincre d'être un connard aide à faire passer toute les pilules, sauf celle qui dit que l'on est un véritable connard à force de s'en convaincre. Je me grouille d'aller à l'hôpital. Dans les couloirs je fais les 100 pas. Je sais pas ce qu'il y a de plus stressant, attendre pour avoir un résultat surement mauvais, ou attendre pour la revoir et découvrir ce regard de haine immense qu'elle me porte. « Je vous en pris Monsieur Caldwell , le docteur O'Connor vous attend. » Merde, merde, merde. La je m'y attendais pas. Enfin si mais non. Mais merde. Profonde inspiration. Sourire charmeur gratifiant pour le connard que je suis. Et hop en scelle. Je suis un dieu comme acteur. « Bien le bonjour belle Joey ... » C'est presque bon de faire comme si rien ne s'était passé, et que tout était comme avant. Sauf que là, elle ne bouge pas, ne souris pas, et se contraint de rester de marbre pour ne pas m'arracher la tronche, parce qu'elle est sensé me soigner, mais je le sens, je suis le roi des cons et des abrutis pour elle. Et BAM flêche en plein coeur. Elle me tendit la main que je m'empressais de serrer délicatement et ferme, cherchant un contact avec ces yeux qui se faisait vide et fuyant. Je l'ai bien mérité. Elle m'invite à m'asseoir. Je m'exécute, je ferais encore le con une autre fois avec elle, j'ai confiance en ma connerie. « Monsieur Caldwell, pouvez-vous donc m'expliquer qu'est ce qu'il vous arrive, et surtout depuis quand ce n'est pas quelque chose qu'indique les radiogrammes ... » Je n'ai jamais entendu sa voix si froide et si impersonnel. Dites moi juste que c'est pas moi qui lui est fait ça. Quel con, comme si je pouvais avoir eu autant d'importance dans sa vie. Elle ferme la porte pendant que je contemple mes genoux. Je ne sais pas pourquoi, mais soudainement la peur et la douleur me submerge. Moment de lucidité sans doute, ou jeu d'acteur qui s'effondre, mais je relève la tête fragile, les yeux flou avant de dire. « Je suis malade Blondie, vraiment malade, et tu est la seule qui puisse me sauver. » Un instant j'ai cru la voir vaciller, comme si elle avait penser voir une partie encore humaine chez moi et qu'elle a voulu l'embrasser. Mais non surement pas. Elle sortit les clichés que je lui avais envoyé, les mis sur le bidule lumineux pour les lires, et me montra une tâche blanche sur mon cerveau. Ca c'est une tumeur. Elle appuie sur la partie ou réside votre mémoire; d'ou les trous noirs, et visiblement vos crises de mythomanies excite votre tumeur et déclenche la fait grossir. Je l'admire tellement, incroyablement belle, forte et douée, quel con. On devrait avoir de bonne chance pour l'enlever bien sûr il n'y a pas zéro risque, hémorragie interne, perte de la mémoire partiel ou définitive... La du tac au tac tout ce que je te demande blondie c'est de me sauver, et d'épargner la partie de ma mémoire ou réside notre histoire... Bam voilà connerie. A voir son regard de tueur on s'en bien que j'ai dis une connerie et qu'elle veut m'épingler sur place. BAM flèche en plein coeur.





Revenir en haut Aller en bas
WELCOME TO NEW YORK

Contenu sponsorisé

SOMETHING TO SAY

PIECES OF MY MEMORY
► présentation Jackson Vide
MessageSujet: Re: ► présentation Jackson ► présentation Jackson Empty

Revenir en haut Aller en bas

► présentation Jackson

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
FREEDOM NEW YORK • I HAVE A DREAM :: 
☂ Come on babe ! You need me
 :: ❝ Show must go on
-